Tacoma Tacoma est un jeu narratif. Chic ! Mais Tacoma est chiant…
Déjà je dois vous raconter une histoire. A sa sortie, il y a quelques semaines déjà, je lance Tacoma, et le jeu me demande d’appuyer sur A pour aller au menu du jeu. Et rien… Oui j’appui sur A et il ne se passe rien. J’ai dû attendre une mise à jour salvatrice du jeu pour pouvoir enfin profiter de ce grand titre. Et ce fut un grand pétard mouillé surtout. Pour être narratif, Tacoma est narratif. Mais le narratif chiant. Du blabla, des graphismes simplistes, une histoire pas très bandante, pas de rebondissement, et une fin qui se torche en moins de deux heures, sans aucune émotion rencontré. Je vous ai vendu du rêve non ?
Alors comme je ne vais pas torcher mon test avec un seul paragraphe, malgré qu’il explique plutôt bien que ce jeu n’est pas terrible, bah je vais broder. Alors Tacoma nous raconte les péripéties des 6 membres d’équipage disparus de la station spatiale Tacoma en 2088. Notre personnage débarque donc dans la station avec son IA favorite Odin, et on doit brancher un boitier dans chaque partie de la station qui nous permettront de réécouter les enregistrements de la base, avec une représentation « réalité augmentée » des membres d’équipage à la sauce fil de fer. Graphiquement Tacoma est plutôt moche, c’est gris, froid, et les personnages en fil de fer. Voilà.
L’histoire est chiante, à la fin il y a un pauvre twist. On peut écouter les discussions, mettre pause, revenir en arrière, c’est génial, non je rigole, j’ai franchement fini le jeu en accélérant les dialogues tellement cela sonnait creux. Bref, Tacoma est un jeu à oublier dans l’espace…