7 Days of Rose Un jeu auquel on repense les yeux plein de chagrin ?
Ratalaika fait dans tous les genres possibles y compris les visual novels dont la qualité est aussi variée que la collection de manettes de Riggs ! Avec 7 Days of Rose, nous plongeons dans le grand bain ou dans le pédiluve ?
Nous incarnons Michael, un jeune homme classique de chez classique qui part en vacances avec ses parents fantasques. Vous savez les parents de Jim dans American Pie ? Oui, eux... Il faut dire qu'au moins, ils sont plein de vie et qu'ils vous encourage à vous amuser sur cette île paradisiaque. Vous êtes un peu timide mais entre le lieu, vos parents et Rose, vous allez changer ! Oui, Rose, la belle jeune fille aux cheveux teints qui vous fait tourner la tête et un peu en bourrique. Elle a du répondant, elle est jolie et vous allez donc passer votre semaine avec elle. Si vous avez des choix à faire dans les réponses, rien ne vous bloquera dans l'aventure. C'est un moyen de nous garder sur le qui-vive et de mieux se prendre pour notre héros.
En effet, 7 Days of Rose a une histoire à raconter et mine de rien, même si elle demeure fleur bleue, on a sa petite larme, son petit sourire mi-triste, mi-content à la fin de l'aventure car l'histoire est mignonne et touchante. Certes, j'aurais aimé plus d'impact dans mes choix, plus de surprises mais le côté émotion est là !
Visuellement, 7 Days of Rose est sympathique avec des jolis dessins et quelques animations ça et là. Les musiques sont parfois trop extrêmes : on passe du doux piano à l'ambiance Copacabana sans trop comprendre mais globalement, 7 Days of Rose ne fait pas dans banal et se distingue au moins des autres visuals.
7 Days of Rose se finit en 45 minutes si l'on lit vite et en 1h30 si l'on prend davantage son temps. De quoi passer un bon moment, le temps d'une soirée, car un run suffit à voir l'histoire et à prendre les 1000G. Mais 7 Days of Rose aura permis de passer une bonne soirée.
