Abyss : The Wraiths of Eden Ho un petit Artifex Mundi ! Mon petit caprice à moi entre deux gros jeux. Et en plus, pour le coup, j’ai pleins de gros jeux à tester en ce moment !
Vous devez le savoir à force, mais je me répète, j’ai un petit faible pour les Artifex Mundi. Ce ne sont jamais des grands jeux, mais c’est toujours un bon petit moment de passé à résoudre des énigmes simples et découvrir un récit passionnant. Je commence à maîtriser les titres estampillés Artifex Mundi, avec quelques tests dans ma besace. Cette fois-ci, je vous parle de Abyss: The Wraiths of Eden, et il ne déroge pas à la règle : entre deux jeux bourrins ou funs, je répare mon cerveau avec un petit jeu d’aventure comme Artifex le fait si bien.
Abyss: The Wraiths of Eden nous plonge dans l’océan, à la recherche de notre chéri qui s’est perdu avec un masque et un tuba. Hop disparu le gaillard. Bien entendu, avec Artifex Mundi, le surnaturel n’est pas loin, le machiavélisme non plus, et on va encore botter le coup à un sorcier ou un esprit vengeur. Il y a pas besoin d’être visionnaire ou scientologue pour comprendre le scénario dès les premières secondes.
Techniquement, Abyss est dans le bon panier de l’éditeur. Les décors sont sympas, les animations rigides mais plus réussies que dans les premiers titres sortis, bref, c’est du classique. Le gameplay est toujours le même à savoir retrouver des objets cachés pour avancer. La musique ne restera pas dans votre tête, le scénario non plus, mais vous aurez passé une soirée agréable.
Abyss: The Wraiths of Eden est un Artifex Mundi qui tient la route, ce n’est ni le meilleur ni le moins bon. On pestera un peu sur les aller-retour un peu plus fréquent que dans d’autres épisodes, mais globalement, rien de bien gênant. Les habitués ne seront pas perturbés !