ARK : Survival Evolved 2017

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ARK : Survival Evolved

ARK : Survival Evolved - Jurassic Crash

Ark : Survival Evolved est enfin en test chez nous. Il a fallu se battre pour tenir le coup !

C’est simple, j’ai lancé Ark : Survival Evolved et le jeu a planté dès mes débuts dans le jeu. C’est moche pour un jeu qui sort en version définitive (enfin il paraît) avec un Bluray qui va bien. Pourtant le jeu était en Early Access pendant des années, mais non, le jeu est encore capable de planter comme une merde au bout de 2 minutes après la création de notre avatar et notre arrivée sur la plage. D’ailleurs, quand on installe le jeu on a 25Go sur le disque et autant à télécharger. On se dit « chic ils mettent les moyens ». Ouais j’ai surtout l’impression que le titre est en Early Store Access, en accès anticipé en magasin, un peu comme Fortnite mais en pire niveau optimisation.

Game of Ark

Techniquement, le jeu est une honte. Alors oui graphiquement, si on fait abstraction du blur, de l’aliasing, des animations robotisées, des chutes de framerate, et du pop des textures bah… Non en fait, on peut pas en faire abstraction. Le jeu est vaste oui, mais c’est pas une raison pour péter plus haut que son cul et de sortir un jeu avec des ambitions démesurées, pour au final avoir l’effet d’un prout dans l’eau. D’ailleurs les effets d’eau sont à chier.

Un arbre!

En parlant d’eau, je vois un dinosaure, je me bats comme Chuck Norris contre lui. Une petite merde hein, je me la raconte pas. Le combat fini dans l’eau. Je l’assomme à force, car je suis trop fort. Et bien, ce putain de dinosaure terrestre est resté dans l’eau tranquillement assommé et puis au bout d’un moment, s’est relevé comme une fleur. Ark, c’est de la survie. Il aurait pu prévoir la noyade pour les animaux non ? Car sinon, on va en chier. Bref, c’est ma parenthèse Koh Lanta.

Je vole

Ark, c’est donc de la survie. Si on joue en solo, à la rigueur, ça va, mis à part que le jeu plante des fois, on peut s’en sortir. On se cherche un foyer, à manger, on tient tête aux dinos, pour au final essayer de les dompter. On chasse, on devient plus fort, on se développe, etc. Si on ne craque pas devant la faiblesse technique du titre et son côté chronophage hyper violent, je ne dis pas, on peut aimer. Mais il faut avoir un grain. Car un jeu chronophage qui ne tient pas la route, qui plante, et qui ne transcende rien dans son genre par faute d’avoir vu trop grand, et bien, on a surtout envie de lâcher l’affaire. En ligne, c’est une horreur. Les serveurs plantent, lagguent, et les autres joueurs peuvent être des plaies, à se croire dans COD au lieu de ARK. J’ai détesté. Oui, je le dis fort : J’AI DETESTE MON EXPERIENCE DE JEU AVEC ARK ». C’est dit, et toc.

De la baston

Ark : Survival Evolved est un titre qui au début de son développement était prometteur, puis la folie des grandeurs et son carton en accès anticipé sur pc puis console, ont fait que les développeurs se sont éparpillés, à rajouter pleins de choses sans stabiliser ou améliorer l’existant. Au final, on nous sort un produit fini qui n’est pas fini, et qui sent clairement la bouse de T-Rex.

ARK : Survival Evolved - Note XboxOrNot

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