Brink 2011

57 /100
voir le barême

Brink

Brink - Pourquoi j'y joue encore !

Brink est un jeu qui a fait couler beaucoup d'encre mais qui semble avoir disparu des esprits. Vous allez dire que c'est normal parce qu'il n'est pas si génial mais c'est quand même dommage de passer à côté d'un jeu qui demeure une grande source d'amusement. Quand en plus, vous pouvez vous faire plaisir à moins de vingts euros, pourquoi résister non ?

Brink ! Un jeu qui a fait parler de lui l’an passé et qui maintenant se trouve dans la plupart des crémeries pour pas grand chose. Très attendu, beaucoup décrié, je ne vais pas vous refaire le pitch intégralement mais plutôt vous raconter pourquoi, j’aime toujours joué à ce jeu qui porte l’étiquette « pas top » sur la tronche. À l’époque, j’avais convaincu Riggs de jouer avec moi mais il a craqué après quelques parties. Dommage, j’aimais bien son avatar qui ressemblait à Schwarzy dans Predator. J’ai donc continué seul et contre tous. POURQUOI ? Vous voulez savoir "Pourquoi" ? Bon je vais vous le dire !

La classe, ça s'invente pas !

Déjà, ce n’est pas vraiment pour le scénario car il est minimaliste, genre l’île de la dernière chance où la résistance veut des ressources et la sécurité veut les préserver. Pas de méchants méchants et pas de gentils gentils mais une identité propre et cartoonesque. En gros, les clodos de la résistance et les coincés du cul de la sécurité. Quand vous créez un perso vous pouvez jouer les deux camps et surtout … CUSTOMISER !

Hauts les mains , peau de lapin !

Moi, c’est ça mon truc, la glande et la customisation. Sur ce point, j’ai été relativement gâté. Des barbes, des balafres, des chapeaux en tout genre et des vestons bariolés. C’est plus rigolo de faire son personnage dans Brink que dans Call of Duty. De même, les différentes armes, ou classes de personnages sont amusantes et pas prises de tête. Le gabarit, véritable enjeu pour certains va permettre d’être un bulldozer ou un pro du parkour. Lâchement, mon truc était d’être un médecin pro du parkour. Je cours partout et je laisse mes alliés faire les objectifs.

Les hippies du futur !

Le but du jeu n’est pas de camper façon Kevin et de planter des headshots. Le truc est de remplir les objectifs du jeu comme exploser une porte, pirater un ordi ou sauver un type louche. On fait vite le tour mais le challenge est amusant vu la gueule que se trimbale les différents personnages y compris le votre. Avant que Gotham City Impostor vienne se la jouer, Brink imposait une idée marrante de faire du FPS. Le côté parkour est amusant d’ailleurs et viendra titiller vos méninges. Riggs préférait jouer le bourrin à la gatling et je vois bien Jaded en pirate fou lançant des grenades dans tous les sens en glissant sous les barricades ennemis.

La loi ! C'est moi ! Et l'ORRDRRE !!!!

Donc, ce n’est pas le jeu de l’année, les voix ne sont pas terribles mais l’ambiance cartoon et décomplexée, c’est toujours sympa après une rude journée de travail. Et puis, changer de moustache parce qu’on se dit que notre perso est plus fort comme ça, je ne sais pour vous mais moi en toute bonne foi (ou mauvaise) ça me plaît J

Matrix et Captain Tsubasa réuni !

Brink - Note XboxOrNot

57 /100
voir le barême

  • Customisation des personnages
  • Un bon choix de barbes et de moustaches !
  • Gameplay accessible
  • Univers coloré !

  • Les bots pas toujours top
  • Pas facile de trouver des gens en multi parfois
  • Le côté cartoon ne plaira pas à tout le monde
  • Redondant
  • Notre barême en détail

Brink