Doritos Crash Course 2 Depuis des semaines, Riggs me dit :"Et ton test de Doritos ? ". Il faut dire que c'est de bonne guerre puisque je le gave sur les atouts de ce jeu. Cela va au-delà de la gratuité du titre puisque c'est également un jeu fun. De plus, lorsque je peux jouer avec mon avatar, je ne boude pas mon plaisir !
Doritos Crash Course premier du nom est un jeu qui m’a amusé. Pas seulement parce qu’il était gratos mais bien parce qu’avec un concept simple et la présence de mon avatar, j’avais un petit jeu sympathique, pas prise de tête qui me donnait furieusement envie de m’inscrire à Total Wipeout ou encore à Sasuke. Un nouvel épisode, toujours gratuit, a débarqué et après quelques sauts de liane, de glissade folle et de chute vertigineuse dans l’eau me voilà prêt à vous raconter mon expérience.
Merde, je suis à la bourre !Le but, comme dans Total Wipeout, c’est d’aller d’un point A à un point B en évitant les pièges en mousse et en escaladant des structures folles. La différence avec Sasuke (Ninja Warrior) est que le parcours est moins physique (bien que) et beaucoup plus protégé. De même, vous pouvez vous viander, ce n’est pas éliminatoire contrairement à Sasuke. Bref, dans Doritos, c’est décomplexé du slip qu’on avance dans le jeu. Trois boutons à retenir et hop ! On a compris la life !
ça sent la vautre !Les anciens verront les nouvelles actions d’un bon œil : marche sur le mur, turbo amélioré, possibilité de jouer les cliffhangers sur les plateformes, ce sont des petits plus qui rendent le jeu plus sympathique, moins punitif pour les allergiques au saut parfait d’une plateforme à l’autre. Au passage, on note le passage du jeu dans l’ère 2.0. avec du contenu et des options payantes à gogo. Maintenant, tout se débloque avec des pièces (achetables) ou des étoiles (à gagner à la sueur de son front). Et à débloquer, il y en a du contenu : des malus à envoyer dans la tronche des autres comme une tête de poulet, des capacités améliorées comme de meilleurs sauts mais également des trucs inutiles mais classes comme une aura électrique ou un costume à deux balles. Dès lors, faire le parcours demandé mobilise plusieurs styles : une approche chrono où l’on débloque des étoiles en finissant premier. Une approche chasseur où l’on va à la pêche aux étoiles. Ces dernières demandant parfois de faire un détour pour les choper.
Lèves les bras balances toi !Le jeu avec sa vingtaine de parcours (pour le moment) a donc de quoi vous occuper mais il faut dorénavant la jouer plus hardcore. Dans l’absolu, je ne m’en plains pas car cela permet d’aller apprécier les parcours de différentes façons (via les chemins alternatifs par exemple) ou encore grâce à des animations ou des graphismes un peu plus fin. Cela dit, cela ne sera pas non plus une claque visuelle et il faudra supporter quelques temps de chargement un peu longuet, des musiques un peu bêtes et des sollicitations à acheter du contenu permanentes. Mais bon, pour un titre gratuit, il faut avouer qu’il arrive à amuser, distraire et cela est bien le but d’un jeu quelque part. Certains titres payants devraient en prendre de la graine parfois !
Bon bah raté !