Dreamwalker: Ne Fermez Jamais les Yeux Que serait ma vie sans un petit jeu Artifex Mundi ?? Je me le demande !
Dès que je publie un test sur un jeu Artifex, je sais que j’en ai un autre qui va débarquer. C’est mon fil rouge niveau test, mais je l’accepte, et à moins que je refile le bébé à quelqu’un, j’apprécie tout de même de jouer à ces jeux globalement. Rien de bien exceptionnel, mais cela me détend. Cette fois, le nouveau venu s’appelle Dreamwalker : Ne Fermez Jamais les Yeux. Cela tombe bien, je n’ai pas le temps de fermer les yeux vu tous les tests que l’on doit finir avant la fin d’année.
Vous ne serez pas surpris si je vous dis « on prend les mêmes et on recommence ». La grande majorité des titres Artifex Mundi sont des enquêtes avec recherches d’objets et énigmes. Du point and click sur écran fixe, simple, efficace, sur fond d’histoire fantastique. C’est d’ailleurs encore le cas ici. Dans Dreamwalker, on se retrouve dans un monde réaliste et contemporain, et notre personnage (féminin comme d’habitude) a des dons de médium en quelque sorte. Une histoire prenante, pour peu qu’on aime le genre, des énigmes classiques et pas trop prise de tête, bref du Artifex Mundi quoi.
Techniquement parlant, je ne vais pas faire un copier-coller de mon précédent test du genre, mais c’est toujours la même chose. On peut râler que c’est toujours pareil, mais cela reste des titres à petits budgets issus d’ailleurs des smartphones. Mais c’est globalement agréable à suivre, du moins c’est lisible, c’est le principal. La musique tourne un peu en boucle mais elle n’est pas désagréable et les doublages en VO tiennent la route.
Dreamwalker : Ne Fermez Jamais les Yeux est un Artifex de plus, que j’ai trouvé un peu meilleur que le précédent titre du genre. On est en terrain connu, mais au moins, on sait pourquoi on paye pour ce genre de jeu.