Amis nostalgiques, vous allez être ravis ! Un pur produit de la vieille école vous accueille !
Parfois, je me dis qu’un type qui se réveille de la fin des 80’s ou du début des 90’s ne sera pas choqué en allumant sa One ! Il y a tellement de jeux en pixels que le type ne sombrera pas dans la folie. Quoi que… Il pourrait se dire que tout est pourri et qu’en plus de 20 ans, rien n’a changé ! « Monde merde » comme dirait Georges !
C’est un peu avec ce constat en tête que j’ai allumé Elliot’s Quest. En effet, dès le départ, je découvre un ptit gars bien mignon en toge avec son petit arc. Il aurait eu des ailes, c’était Kid Icarus, mais il n’en a pas alors c’est Elliot ! Le petit gars doit… En fait, je ne sais pas trop, je ne sais pas s’il rêve, s’il fait vraiment un voyage et à qui il parle ? Un caillou, un esprit, je ne comprends pas tout sauf que je dois boucler divers donjons et forêts situés sur une carte. Pour cela, je saute, je tir à l’arc et de temps à autre, je gagne en XP (histoire de dire que je ne suis pas qu’un jeu en pixel).
Sans les ailes, j’étais à peu près au niveau de Kid Icarus avec une carte entre les niveaux digne de Zelda 2 ! Ensuite, vous pouvez y aller sur le son, il est peu présent et presque aussitôt oublié. Le gameplay vient sauver le jeu avec des contrôles précis et un level design qui récompense l’exploration (même si celle-ci est presque obligatoire dans certains donjons).
Ainsi, le jeu est plutôt sympathique, le personnage est attachant mais cela ne va pas plus loin. Pour les nostalgiques.