HELLMUT: The Badass from Hell Vous voulez en chier des bulles dans un ambiance un peu folle ? Vien-dez !
Cela faisait un moment que je n’avais pas fait un die & retry des familles. Ou bien… Mon subconscient a peut-être occulté quelques souvenirs de défaites cuisantes… Bref, trêve de bavardages et jouons à HELLMUT: The Badass from Hell.
Vous incarnez un scientifique (ou genre un gars comme ça) qui a l’idée géniale d’invoquer un puissant démon pour qu’il lui exauce son souhait :être immortel ! Le démon vous accorde des vies infinies et en profite pour ramener tous ses potes démons pour foutre le dawa et vous réduire à l’état de crâne flottant ! Pour contrer les démons, vous allez devoir les chasser avec votre frêle forme ou avec une forme d’emprunt que vous confère un œil avec des tentacules. Ok, ça pue l’arnaque mais il faut bien combattre les démons.
Après l’intro aussi courte que folle, vous voilà à la chasse aux monstres dans des donjons générés aléatoirement. Tout ça se fait dans la joie et le pixel ! Ici, c’est du pixel agréable et chatoyant. Je ne vais pas me taper le cul par terre mais l’action est lisible et tout ne ressemble pas à la même bouillie.
Côté gameplay, ça shoote pour survivre. De base, vous êtes un crâne flottant un peu faiblard mais en début de partie, vous choisissez parmi plusieurs formes. De base, vous avez le roi des rats avec son lance missile. Un bon perso pour faire ses gammes dans le jeu et apprendre les bases. J’ai préféré la version Hulk avec Mjollnir qui est le gros gars avec plein de point de corps qui lance des gros marteaux et qui peut charger comme un bourrin. Si votre corps d’emprunt meurt, vous redevenez le crâne flottant à la con à la merci des ennemis.
Mais le jeu est motivant pour le rythme, les armes que l’on trouve qui ont une puissance de feu qui me rappellent les fusils de Metal Slug. De plus, vous avez un certain nombre de défi en plus de votre quête de base.
HELLMUT: The Badass from Hell est-il dur ? Oui, vous pouvez vous faire trucider en 3 secondes si vous tombez dans un piège des ennemis. Oui, parce que même si vous êtes aux aguets, il faudra rester concentrer jusqu’au bout devant le nombre d’ennemi ou les boss ou autre sous boss qui peuvent jaillir à n’importe quel moment du donjon. Mais c’est un peu ça que l’on veut dans un die and retry. Tout ça avec une technique qui ne faiblit pas. Elle vient vous dire : on s’amuse bien mais si tu perds, c’est de ta faute et pas un bug ou un trouble à la con (ou la mauvaise foi). Vous avez ici, « vies infinies » alors venez : vivre, mourir et recommencer !
