Infinite : Beyond The Mind Tiens, un nouveau plateformer action est là, est-ce qu’il vaut le coup ?
En gros, dans Infinite : Beyond The Mind, on se retrouve sur une Terre plombée par des conflits dans tous les sens, et deux filles aux super pouvoirs veulent se rebeller contre la reine Evangelyn, un tyran qui malgré les apparences, en a dans la culotte. On choisit un des deux personnages, ou les deux si on joue... A deux, et hop on va sauver le monde. Scénario de dingo !
Le problème avec Infinite : Beyond The Mind, c’est que j’ai complétement oublié le jeu le lendemain de ma dernière session… Un truc de malade. Ce titre est tellement fade, sans personnalité, et tellement convenu, que il n’y a rien qui n’a été conservé dans le cloud de mon cerveau. Non pas que le jeu soit une bouse sans nom, mais c’est juste plan-plan. En gros, on avance, on saute, on bute les ennemis, et puis on arrive face à un boss un peu relou, et on meurt et on recommence. On refait ça pendant 16 niveaux, pour suivre un scénario bidon, et on enchaîne des lieux qui ont un point en commun : un level design bidon.
Graphiquement, c’est de la 2D en pixel classique, cela ressemble à dix mille jeux sur le store. Les animations ne sont pas extraordinaires, l’IA des ennemis plutôt classiques en mode « j’avance, je m’arrête, je tire » et puis voilà. On joue, on s’emmerde, et puis voilà. Et ce n’est pas la bande son anecdotique qui va changer les choses.
Infinite : Beyond The Mind est un jeu banal, oubliable et peu recommandable. Un jeu « pas terrible-terrible » qui mérite l’oubli. D’ailleurs, je parlais de quoi déjà ?