Metal Tales: Overkill 2022

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Metal Tales: Overkill

Metal Tales: Overkill - They tried to kill the metal ?

Du gros riff, du gros son, du gros jeu ?

Ne tournons pas autour du pot ! Voici un pitch qui me vend du rêve : "Le Dieu Kuk possède tous les dieux de la guitare, et à travers eux, les métalleux. Grâce à des concerts infinis, il aide sa légion de zombies métalleux à anéantir toutes les créations originales des groupes de métal et de leurs fans dévoués. Alors que des légions de métalleux sont privés de leur passion, une seule personne peut vraiment relever le défi et en sortir victorieux". J'ai l'impression d'être Jack Black dans Brütal Legend, d'être dans Guitar Hero III ou Kenny sur la planète Métal ou dans Charlie's Murder ! Bon... Je m'enflamme peut-être un peu !

Un livre qui brille la nuit ! Pratique ! 

 

Et je suis calmé dès que je commence à jouer ! Visuellement, c'est tout baveux comme une fin de pogo après trop de bières éventées. Ce n'est pas beau, c'est peu lisible et après quelques secondes, je comprends que le gameplay est pareil ! C'est imprécis, haché et mou du genou ! Bref, le fond et la forme me font mal à la gueule. 

Je me bats contre le virus du SIDA ? 

 

Pourtant, le jeu a une qualité ! Le son ! Ok, j'avoue que je ne connaissais pas tous les groupes mais ça envoi du lourd ! Avec une BO comme ça, j'avais envie d'y croire ! Car, oui... Je suis allé dans les crédits et les bonus avant de lancer le jeu pour voir les options et aussi pour gratter un succès au cas où (c'est un réflexe que Riggs m'a transmis). J'avais le pitch, j'avais le son... Mais c'est tout ! 

Quitte à rêver, je vais relancer un autre jeu dans le genre ou écouter une playlist de métal car ici, on va secouer la tête pour se la lancer dans un mur ! 

Ce n'est pas une défaillance de votre téléviseur ! 

Metal Tales: Overkill - Note XboxOrNot

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