Miden Tower Les premières lignes de mon intro ont été écrites avant le test. Découvrez si elles vont bien avec le reste du test.
Quand on réclame du KEMCO, du KEMCO arrive ! Et paf Miden Tower ! Au début, j'ai cru à une faute d'orthographe dans le nom : Maiden au lieu de Miden. Et puis… En fait non, c'est bien le titre. Les lignes que vous venez de lire ont été écrites au moment où j'ai reçu le test et où j'ai fait la fiche précédant le test. Bon, je ne me suis pas mouillé des masses mais je sais à quoi m'attendre avec un KEMCO.
Le jeu le confirme par ses graphismes, son ambiances, ses musiques et son gameplay. Nous sommes en terrain connu : du jeu de rôle, des pixels et un système bien fichu qui a le mérite d'être clair et efficace.
Dans Miden Tower, nous avons toutefois un système d'assistant ou de frappe en équipe qui a le mérite de rendre les combats sympa et qui change du : "je t'aiderais bien mais ce n'est pas mon tour d'attaquer...".
Au menu de Miden Tower, un jeune héros assoiffé de vengeance contre des soldats qui ont tué tous ses proches dès l'introduction. Même s'il est un peu nervous breakdown sur les bords et un poil obsédé par la mort de ses ennemis, il a la sympathie des sages locaux et il devient pote avec un esprit des murs qui se transforme accessoirement en jeune servante aux formes opulentes.
J'en rajoute à peine mais voilà l'idée. En chemin, notre héros plutôt maussade va découvrir plein de choses, d'amis et de révélations diverses en faisant équipe avec une mage excentrique (Mia) et un vieux briscard. Humour bon enfant jouant sur les contrastes et système de jeu efficace.
Du coup, Miden Tower est un bon petit KEMCO comme je les apprécie. Comme je n'ai pas eu à en tester depuis plus de deux mois, je suis content de me plonger dans ce jeu et d'apprécier l'accessibilité et le travail bien fait. Certes, rien de trop nouveau mais un jeu agréable et sympathique.
