PlayerUnknown's Battlegrounds 2017

PlayerUnknown's Battlegrounds

PUBG - Vivement la version finale !

Playerunknown's Battlegrounds est sorti en Game Preview en décembre sur Xbox One. Après des heures de jeux et plusieurs patchs, qu’en est-il de ce phénomène sur notre console favorite ?

En 2017, Playerunknown's Battlegrounds alias PUBG a été un phénomène. D’abord sur PC, puis sur Xbox avec sa petite exclusivité console (temporaire ?). Le titre est sorti en Game Preview pour 30 euros tout de même le 12 décembre dernier, et j’ai pris mon temps pour en faire un article. Car oui, le jeu a commencé difficilement sa carrière. Je ne reviendrai pas sur le concept des jeux en Game Preview, je ne suis  pas fan du « payer pour voir et souffrir des bugs » mais pourquoi pas si le jeu est fun. Je joue sur Xbox One X, et ce n’était pas fameux : jeu moche, texture pas top, framerate pas stable, bugs en pagaille qui feraient passé Goat Simulator pour un AAA. Bref, si on a claqué 30 euros dans PUBG sans savoir que c’était encore en développement, on pouvait l’avoir mauvaise. Mais il faut reconnaître une chose à ce titre : il est prenant.

On se casse!!!!

Alors oui, les premières semaines furent compliquées, mais il faut noter la bonne réactivité des développeurs qui ont proposé beaucoup de patchs (6 de mémoire depuis la sortie) avec beaucoup de correctifs et ajustements bien agréables. Aujourd’hui, le jeu est bien plus stable, bien plus agréable. En fait, petit à petit il ressemble à un produit fini, et je suis pressé que ce soit le cas, avec les petits succès qui vont avec. PUBG est un jeu prenant je disais, par son concept. Le côté Bataille Royale est toujours intéressant à jouer, c’est pour ça que c’est à la mode actuellement, mais PUBG a réussi à rendre l’ensemble à la fois épique, stressant et fun. Que l’on joue seul ou en équipe, chaque partie est unique, chaque partie aura son moment de bravoure, chaque partie aura son moment de fun et chaque partie nous donnera envie d’en relancer une petite dernière. J’espère simplement que dans la version finale, il y aura plus de fonctionnalités « à côté » avec une progression plus fouillée, une personnalisation au taquet, et d’autres petits trucs sortis du chapeau par les développeurs. Mais déjà, en l’état, le jeu donne envie de jouer, et c’est le principal.

Et pan !

Je parle, je parle, mais j’ai oublié d’expliquer le concept du titre. On est un gus balancé sur une map avec une centaine de joueurs par un avion cargo pour être le dernier survivant. Une fois parachuté, on doit se trouver de l’équipement, des armes, et surtout courir rejoindre la zone de jeu. Plus le temps passe, plus l’aire de jeu se réduit. Il faudra faire attention aux autres joueurs, et au zone de bombardement. Alors on avance la fleur au fusil, et le couteau entre les dents. Un bâtiment à fouiller ? Chic. Mais est-il vide ? Un mec est-il entrain de le fouiller, ou de camper dans un placard pour vous flinguer ? Le silence est maître mot, car l’ambiance sonore du titre est excellente. Des tirs en rafale au loin ? Un combat fait rage. C’est l’occasion d’éviter la zone, ou de récupérer du matos sans rien faire. Une partie de PUBG est stratégique.

Et pan, pan !

Nous sommes loin du FPS bourrin. On prend plaisir à se balader sur la map, en quête d’armement, et surtout pour être le dernier survivant, le gagnant. Et à la fin, dans le TOP 10, cela devient tendu du string, avec une zone de jeu réduite, et des joueurs énervés ! PUBG est un titre pas fini, mais qui réussi à scotcher son public par ces qualités vidéo-ludique. Alors si à terme le titre tient la route techniquement, on tient un bon cru !

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