Reed 2 Reed est de retour pour vous miauler un mauvais tour.
En mars, j’avais pondu le test de Reed premier du nom. Un titre sympa mais exigeant, au gameplay simple mais implacable : si tu fais pas le move parfait, c’est la mort assurée. Alors oui, les chats ont 9 vies, mais ce pauvre Reed, on aura besoin de bien plus pour en venir à bout de ce jeu. Enfin je parlais du premier Reed, mais pour Reed 2, c’est pire. C’est exactement le même jeu, les mêmes graphismes, le même gameplay, mais il y a 52 nouveaux niveaux qui vont vite vous rendre maboule !
Il y a un scénario ! Reed se réveille après sa première quête. Mais Reed a échoué, le super-ordinateur a merdé son reboot, et du coup le monde numérique est de nouveau entrain de partir dans les limbes. Reed a tout de même pu récupérer des fichiers de sauvegarde avant que le super-ordinateur ne soit HS, afin de pouvoir les donner au Développeur. Dans Reed 3 il faudra trouver l’Editeur, et dans le 4 le Kickstarter. Vous aurez ça ici en premier.
Il faudra donc récupérer 3 cubes dans chaque niveau pour pouvoir avancer au niveau suivant. Au début ça va, mais rapidement, c’est un putain de Die And Retry And DIE MOTHERFUCKER qui se met en place. Mais bizarrement, Reed 2 est prenant. Enervant mais prenant. On a toujours envie d’avancer, et de débloquer un nouveau. Le titre est exigeant car à la moindre erreur, on doit refaire le niveau entièrement. A l’ancienne quoi ! Pour le reste, c’est la même chose que le précédent opus : mignon, pas exceptionnellement graphiquement, avec une bande son entraînante et efficace, et un gameplay simple avec juste à mémoriser où est le bouton saut (ce troll !).
Reed 2 est une suite logique et efficace. Qui a aimé le premier aimera le second, les autres passés votre chemin.