SEUM : Speedrunners from Hell Ambiance décalée pour un jeu qui peut autant vous ruiner la tête que vous amusez ! Vous n'avez pas compris ma phrase, le test devrait clarifier tout ça !
SEUM est un nom pourri à l’heure actuel ! Même avec la suite du titre « Speedrunner from Hell », le nom du jeu se fait pourrir par son époque. En même temps, il n’a pas parié sur la France pour se faire connaître. De plus, l’expression sera vide retombée dans les limbes (il faut espérer un peu) mais d’ici là, qui se rappellera d’un jeu qui s’appelle SEUM ?
Pourtant, le pitch est cool ! Cool comme nawak comme on l’aime sur le site. Imaginez, vous êtes un gros metalleux de base avec la barbe de Lemmy et vous êtes tout content avec votre look de Redneck et votre glacière pleine de bière. Soudain, un démon arrive et veut votre bière ! Il vous coupe un bras, vous lui coupez un bras. Vous êtes quittes ? Non ! Car le salaud se barre avec vos bières. Vous vous greffez son bras et vous le suivez en enfer pour récupérer votre bien. Le pitch est donc parfait ! Débile mais parfait mais débile mais parfait…
Ensuite, ça se gâte. D’une part car les graphismes semble à hommage à Doom. Pas le nouveau tout beau ! Le vieux tout grade qui pique les yeux maintenant que le temps à passer. Le jeu qui vous file un putain de mal de tête quand vous y jouez. De plus, avec sa vue en FPS, le côté mal de crâne est parfait. Surtout que le jeu est un die & retry en mode course ! Vous courrez partout dans des mondes qui font mal aux yeux et où les contrôles manquent de réactivité. Il faut presque sauter deux pas avant sa véritable envie. C’est assez étrange comme gameplay et comme visuels.
C’est dommage car des efforts étaient consentis sur le contenu puisque le jeu propose de jouer aux niveaux édités après la sortie du jeu. Pas grand-chose pour le moment mais c’est déjà sympa comme intention. Des bonnes idées ici et là mais une réalisation qui laisse le joueur avec des yeux tout rouge.
