Spheroids Il y a des jeux, on y croit pas trop mais on les lance quand même. Et soudain ! C'est la révélation, Spheroids parvient à accomplir cet exploit qui a lieu toutes les années binoculaires lorsque les astres passent dans la constellation de Baird !
Mon pitch résume bien les choses, Spheroids, je ne savais pas ce que c'était et honnêtement, à voir la tronche de cake du héros, je n'y croyais mais...
J'ai lancé un niveau et j'ai eu encore quelques doutes... Puis le second niveau est venu et j'ai commencé à comprendre la magie du jeu. Ici, vous êtes un gros froussard, une victime, un petit bonhomme avec une chapka qui a tout l'air de Kyle de South Park mais en pixel. Autant dire, que vous êtes bien parti pour perdre la bataille de la vie. Un professeur loufoque a décidé de vous faire pousser des couilles ou bien de vous victimiser puisqu'il vous envoie affronter les Spheroids qui envahissent la planète.
Ainsi votre but est d'arriver à la fin des niveaux et à l'occasion de buter quelques Spheroids qui n'ont rien à envier aux boules de Pang ! D'ailleurs, vous avez aussi le même type de flingue. De prime abord, on se dit : "et merde, un énième clone de Pang!" mais on s'aperçoit que la dimension plateforme est ici beaucoup plus présente. Vous n'êtes pas obligé de tout buter. D'ailleurs, certains ennemis sont intuables et ils sont juste là pour faire chier le monde.
Le truc qui est un poil dommage, c'est le système de bonus et de boutique qui ne sert à rien puisque vous les perdez après un temps ou après la mort. De plus, le jeu se finit en une grosse soirée. C'est dommage mais au moins, on aura passer une bonne soirée. Ce qui est déjà une très bonne chose.
