Test de Citizen Sleeper 2: Starward Vector – Service minimum !

Fellow Travellers revient avec Citizen Sleeper 2: Starward Vector. Si le premier épisode avait un sens de l’esthétique indéniable, je n’avais pas accroché (c’était là) car le gameplay donnait envie de dormir ! On revient avec une suite en mode Full english et on peut dire que déjà, le jeu ne veut pas inclure tout le monde mais peut-être qu’il va donner envie aux plus curieux de creuser la langue de Rowan Atkinson !

La classe à Dallas dans l’espace !

Comme dans le premier, vous êtes une machine mise au rebut mais sauvée de justesse par Seraphin, une sorte de punk du futur mais vous voilà en fuite pour survivre. Et pour ça, il va falloir du fuel et des pièces pour votre vaisseau et du coup… Comme dans le premier, vous allez bosser sur une station spatiale pour faire tout ça ! Le jeu est bavard et souvent trop bavard ! On a du pavé de texte à lire et c’est assez lourd ! Surtout qu’au final, c’est verbeux à mort et on espère se consoler sur le gameplay.

Le côté palpitant des choix d’action !

Comme dans le premier, on choisit une action, on place un « dé » et on regarde l’œil morne les deux pauvres lignes de texte qui nous informe du résultat. Echec ou réussite ne se sont jamais autant ressembler. Pourtant, nos actions permettent dans l’absolu d’accéder à des nouvelles zones ou de rencontrer des perso. On sent que Citizen Sleeper 2: Starward Vector veut nous raconter plein de choses mais la façon de le faire reste pesante.

Et c’est bien dommage car en plus, on a un gameplay pesant où selon les actions/moments, le stick gauche est en congé et on comptera donc sur la croix pour tâcher de faire le job malgré le peu de précision que nous auront globalement sur le jeu.

C’est bien blouge !

Et c’est un peu triste car techniquement, Citizen Sleeper 2: Starward Vector a du style. Comme son aîné, j’ai apprécié les graphismes des personnages, l’ambiance que l’on veut y donner et la musique très éthérée a un côté apaisant que j’apprécie particulièrement ! Mais cela ne suffit pas d’être stylé, il faut aussi avoir du peps ! Et sur ce point Citizen Sleeper 2: Starward Vector porte bien son nom de « sleeper », de dormeur !