Maximum Entertainment, j’aime à le dire, est un nom où il faut assurer. Comme si Shinzay se nommait test à l’heure. De prime abord avec Diesel Legacy: The Brazen Age, on a envie d’y croire. On me propose de la baston et les premiers visuels donnent envie
Sur le net, les visuels font comics et c’est classe. Devant mon écran de télé, l’animation manque d’huile. C’est saccadé comme un hommage à Adibou ou Hugo Délire mais sans Karen Cheryl !
Pourtant, Diesel Legacy: The Brazen Age tente un mode histoire sur fond de Fuel Punk décadant et notre dizaine de personnages ont des choses à dire. Sauf que les animations tuent notre envie car le châssis de ce jeu laisse à désirer.
Le gameplay, c’est le cœur, le fuel, el fuego ! Diesel Legacy: The Brazen Age hésite entre Beat’em up et jeu de baston sans être l’un des deux. Du coup, changer de ligne est une tannée où la manipulation a tendance à foirer. Les coups peinent à convaincre et tout devient aussi confus que frustrant.
Diesel Legacy: The Brazen Age a des idées mais il ne sait pas par quel bout les prendre. J’ai l’impression de voir notre Benjamin de l’équipe, Théo, quand il essaie de communiquer avec nous ou avec une femme.
En résumé, ne vous laissez pas avoir par ses beaux visuels sur le papier, Diesel Legacy: The Brazen Age vous donnera envie de continuer à l’essence !