Test de Last Night of Winter – Il n’y a pas d’os !

Red Art Games est le studio derrière Last Night of Winter. De prime abord, avec la fiche du store et les premières images, vous penserez comme Riggs : « Un mix entre Zelda 3 et les Souls-like ». Un mélange qui peut être savoureux alors let’s go comme ne dirait pas Link ! 

L’heure de la potion magique ! 

Tout commence par une grosse bataille, on ne comprend pas tout mais on sent qu’on va tout nous expliquer à commencer par notre personnage. Du coup, on nous place ailleurs de cette bataille, dans une prison où nous sommes une sorte de squelette tout mignon qui va devoir botter des culs pour sortir des geôles tel Abel Chemoul qui déciderait que « Demain, il fera beau » ! Bref, on comprend qu’on est LE squelette qui peut tout changer donc avec notre « épée », on va batailler. Le pitch est classique, presque oubliable. Ce qui va compter, c’est l’action. 

Je sors d’ici, on ne capte ni la cinquième, ni la sixième chaîne ! 

Une action mise en valeur par des graphismes plutôt mignons. C’est un peu le bazar pour bien tout comprendre à l’écran surtout lorsque nous cherchons notre route mais Last Night of Winter est agréable globalement à regarder. 

Côté action, nous sommes dans du Souls like donc gestion de l’endurance, timing des ennemis… On note que notre héros peut balancer un coup « magique » que l’on doit recharger à la mano ou en tapant des ennemis. La tactique convenue sera de s’assurer que l’on a bien refait le plein après chaque bataille. Le système est plutôt sympa mais c’est vrai que j’aurais aimé un peu de personnalisation, de choix de compétences, d’arme ou de magie. Des petits trucs qui feraient que l’on sent la montée en puissance de notre héros. Ici, c’est bien trop timide et passé le tuto, on sent que l’on va exploiter que ce qui a été présenté sans chichis ! 

Last Night of Winter est un petit jeu qui est sympathique. Certes, cela manquera un peu de profondeur vu le potentiel aventure ou Souls like du jeu mais nous aurons un titre qui saura se faire apprécier gentiment. 

Cette fontaine me rappelle les poubelles qui parlent du Parc Astérix !