Test de Let’s School – A l’école mais tu souris ?

Les vacances scolaires vont bon train et si vous avez hâte que cela reprenne, vous pourrez peut-être trouver votre bonheur avec Let’s School. Riggs m’avait briefé et il m’a fait rire le bougre : « Tu vas pouvoir faire ton dictateur… euh directeur d’école dans ce jeu de simulation de vie, par les créateurs de My Time At Portia« . Bon, il a dit ça et il a filé en vacances car le goût d’une publication ou d’un message sur les réseaux ne doit pas avoir le même goût avec une pina colada dans une main. Bref, après avoir géré des prisons, des pays ou des donjons, place à l’école ! 

Un terrain de tennis… Un terrain de basket… 

Tout commence lorsque vous prenez possession des lieux. Alors, vous pouvez jouer en mode bac à sable mais je vous recommande le mode histoire au moins pour choper les mécaniques de jeu. Donc on se lance en créant son avatar et le nom de son école. La XboxOrNot Academy ouvre donc ses portes et à partir de là, nous devons : rebâtir des salles de classes, recruter des profs, admettre des élèves et préparer leur emploi du temps pour qu’ils aient leur examen à la fin ! 

Je vais planter de l’herbe pour éviter qu’ils la fument ! 

Sur le papier, le programme est alléchant mais Let’s School n’est pas un élève modèle. Déjà, il a bâclé ses travaux d’arts plastiques. Je n’ai rien contre le low poly et le pixel mais ici, c’est trop grossier et imprécis. On a dû mal à bien comprendre certains moments à cause de cela. 

Mais c’est moins pire que les manipulations à effectuer pour tout faire. Si la partie construction est honnête et se situe dans la moyenne de la classe, on ne peut pas dire que les autres menus soient des flèches. Let’s School essaie d’y aller au talent mais ça ne suffit pas, on se perd dans les menus, tout n’est pas hyper clair, certaines actions ne sont pas prises en compte malgré une exécution scrupuleuse de ma part. 

Allez au boulot ! 

Let’s School partait avec une bonne idée mais les fautes d’inattention et un travail pas assez minutieux ont mené Let’s School vers le chemin du redoublement.