Test de NHL 25 – Ne nous laisse pas de glace !

NHL 25, nouvel épisode de la saga glacée à débarquer et après un épisode de l’an passé (ici) sympa mais qui avait encore besoin de dépoussiérer des choses, je suis au taquet pour découvrir tout ça. 

Techniquement, ce nouveau NHL a gagné en tout. Outre la BO toujours aussi électrisante, nous avons une amélioration graphique notable et un rendu des animations plus fin. On sent que les comportements des corps et le jeu d’inertie sur la glace a été particulièrement travaillé cette année. Certes, on peut rechigner encore sur certaines modélisations de visage et dans la famille EA, NHL n’a pas les mêmes moyens que son copain Madden mais on a une amélioration notable comme je l’ai dit plus haut dans le paragraphe.

Coup de crosse

Globalement, on voit le gros effort sur les menus et présentation. C’était déjà un gros point fort l’an passé et c’est encore plus flagrant cette année. Les info importantes sont lisibles, claires et on peut vraiment profiter sans se prendre la tête à chercher ou à se niquer les yeux pour lire. Ce genre de news est particulièrement alléchante quand on est en mode manager ou lorsque l’on est dans le mode Ultimate Team où la lecture des menus sera hyper importante.

Fait intéressant en franchise, les clauses spécifiques pour les échanges de joueurs ou les propositions a gagné en réalisme mais si vous voulez faire ce que vous voulez, vous pouvez toujours virer les trucs qui vous gênent comme le salary cap. Perso, je préfère les options au plus près du terrain mais tous les goûts sont sur la glace !

Tout est dans le mouvement

De son côté, le mode carrière était au point mort depuis plusieurs opus, et cette année on sent que malgré la même cinématique d’intro et son côté cinéma muet qui perdure, le mode profite de l’amélioration globale du jeu avec des menus, des options de carrière ou une gestion de votre progression agréable. Pas d’entraînement avec des mini-jeux pénibles et on se concentre sur nos matchs. Certes, les options de dialogues sont un peu limitées à plus d’un endroit et on se demande même pourquoi on vient nous solliciter mais j’ai apprécié le mode carrière cette année alors que j’avais fini par le délaissé les années d’avant.

Etirement du champion

Si comme moi, vous avez kiffé le mode CHEL et bien, le mode CHEL (non, je parle pas de station service mon bon Jingoro) est toujours là et c’est un mode fufu la moquette comme je les aime pour profiter de la glace et des joies d’un hockey champagne. Certes, j’ai eu parfois du mal à trouver du matchmaking mais c’est histoire de me plaindre. De la même façon, pour l’expressivité de votre joueur, les voix françaises sont en accent canadien avec des expressions qui ne sont pas de l’hexagone. Mais cela donnera un certain charme à votre avatar et fera de vous le Roch Voisine des patinoires.

Cela semble bouché comme le périph’

D’ailleurs côté gameplay, comme je l’ai mentionné dans la partie technique, on note le travail sur les patins et le comportement physique qui donnent un côté très instinctif au gameplay. Le mode « total control » est d’ailleurs très abouti cette année et on se surprendra à ne jouer qu’avec ce mode tant on ressentirait presque le contrôle de la crosse dans notre main sur certaines actions. Et pas besoin de faire le jongleur fou pour faire de beaux mouvements car on aura, grâce à notre positionnement de corps, toutes les options pour être idéalement placé et se faire plaisir.

Ce nouvel NHL est donc grisant et on note les progrès entre cet épisode et le précédent. On peut dire que cet épisode ne nous laissera pas de glace !