Test de Spacepunk Survival – Embarquez sur un Nostrom Horrible

Dans un univers de FPS, il y a le bon et moins bon. Avec un aspect old school pixelisé qui ferait passer Doom pour une jeune bimbo dotée d’un bonnet D, Spacepunk Survival tente d’appliqué la recette d’un Killing Floor à un jeu orienté rétro. Je vais vous spoiler tout de suite, mais si vous avez vu notre live avec l’immense, le génialissime, l’incommensurable GXL Redge, vous savez que tout est raté, mou du genou et inintéressant. 

Des ennemis caca rismatique

Vous arrivez seul ou à plusieurs sur la station Lapetus qui contenait un laboratoire de l’espace et évidemment vous êtes assailli par des vagues d’aliens pas beaux et très méchants. Visuellement, le pixel art fait des merveilles dans certains jeux, mais pas là… Horrible, dégueulasse, sans réelle recherche, un sous clone d’Alien Trilogy sur PS1. Vous êtes équipé, au départ, d’un flingue et d’un lance-flamme. 

Un bug bloquant

Le pistolet a autant d’impact qu’un pistolet à bouchon et votre lance-flamme, qui ne sera utilisable qu’après avoir rempli une jauge, façon Ulti, sera aussi impressionnant qu’un déodorant Brut de Fabergé avec un briquet. 

Achetez des munitions

Pensez à régler votre sensibilité, car au départ, elle est aux fraises, ce qui ajoute d’entrée à avoir un avis négatif sur l’OVNI en présence. Là, vous entamez votre première vague d’ennemis. Les ennemis sont des ersatz de Doom en version roumaine… un peu plus et ils vous font le pare-brise. Chaque ennemi abattu vous rapporte de l’argent que vous utiliserez soit pour acheter des munitions, soit pour changer votre arme principale, soit votre ulti. 

Un boss caca lamiteux

Disons-le clairement, chaque arme vous amènera de la déception… tant elles sont sans impact, sans talent et parfois même sans bruit de tir. Vous subirez donc les vagues ennemis et d’ennuis avec un bestiaire famélique allant de l’alien rampant à la “couille” dotée d’une bouche, de “couille” volante, de “vulve” tirant des lasers. TOUT est pathétique.  

Des boosts inutiles

Bien sûr, certaines vagues, tenterons de rompre la monotonie en par exemple protégeant un réacteur d’une infâme bête ou de se protéger dans des “Safe Space” tout en subissant des assauts dans des endroits exigus. Mais cela donne autant de piments à l’action qu’un film de Michael Dudikoff style American Ninja. 

Un seul environnement, avec des évènements, des ennemis qui tournent en boucle, qui sont juste plus rapides ou font plus mal. Vous en ferez vite le tour et ce n’est pas le jeu qui vous fera arrêter d’y jouer… C’est vous par ennuis qui passerez par le menu pour choisir “Leave the game” 

Des armes Playschool

L’aspect multijoueurs ne saucera pas non plus le titre ! Vous aurez du mal à vous trouver via le menu du jeu et passerez par l’interface de la console, de plus vous vous ferez chier à plusieurs ! C’est tout.

Comme dirait Shinzay : ne tirez pas sur l’Ambulance Simulator ! Même le prix ne sauve même pas le bousin : 9.99€, vous pouvez trouver largement mieux pour ce prix dans les vieux titres, les récents, les AAA ou les indés…. Hop, poubelle.  

Le réacteur à protéger