The Coma 2: Vicious Sisters Le retour du jeu qui devait me plaire mais qui au final, bah, je me suis surtout fait chier...
The Coma 2: Vicious Sisters est la suite directe de The Coma premier du nom. C'est un gros pompage d'ailleurs, on retrouve les mêmes lieux au début du moins, les mêmes personnages, et les mêmes mécaniques. En gros, j'ai même pas besoin de détailler le test pour vous spoiler mon avis final : je n'ai pas aimé, mais si par bonheur vous avez aimé The Coma, vous adorerez sans doute reprendre l'aventure.
Mais ce n'était pas mon cas. Du coup, on débarque dans la peau d'une copine du mec qui était le héros du premier titre. Le fameux étudiant coréen qui révise un examen toute la nuit. En arrivant sur place le matin, on papote avec ses camarades, on discute avec Melle Song notre professeur « bonnasse » principale au décolleté interdit dans les bahuts, et puis on arrive devant notre feuille d’exam, et c’est le drame. On s’endort, puis on se réveille, et tout est devenu infernal. Il fait sombre, Melle Song s’est transformée en zombie sanguinaire. Bref, ça part en couilles. Bon, ça c'était l'histoire du premier épisode, et bien dans le deux, c'est pareil, on se réveille et c'est la merde, et Melle song est toujours aussi assoifée.
Ce qui est fou avec ce titre, même si d'un côté, c'est une suite donc c'est logique, mais j'ai retrouvé les trucs qui m'avaient à peu près plu comme le style graphique, d'ailleurs le jeu est un peu plus joli que la dernière fois et j'ai retrouvé les trucs qui m'ont saoulé, comme un peu tout le reste. On est toujours dans une sorte de survival, avec quelques moments « flippants » et beaucoup de blablas. On doit esquiver les attaques en se planquant. On peut courir mais on a une fatigue qui va plomber les habitués du run. Les jump scare sont assez convenus, l’histoire tient sur une feuille de Moltonel et au final, The Coma 2: Vicious Sisters n'invente rien et n'essaye même pas d'améliorer la recette de son grand frère.
The Coma 2: Vicious Sisters est un titre banal et oubliable, comme le précédent opus. Pas une daube en puissance, mais un jeu "bof bof" qui aurait mérité plus de travail à mes yeux, surtout au niveau du scénario, pour nous scotcher à la manette.
