The Last Scape The Last Scape est un jeu qui veut nous faire planer.
Et il y arrive sauf qu’on a aussi un peu mal au crane. En effet, le but du jeu est simple : on vole dans le ciel en vue subjective et on doit passer par des anneaux. Et puis c’est tout. Ce titre n’est pas plus évolué que Aery, le jeu avec l’oiseau qui vole pour chopper des plumes car il se fait chier dans sa vie.
C’est compliqué d’écrire le test d’un tel jeu. Il ne se passe rien, on tourne dans le ciel, au bout d’un moment, on a la tête qui tourne car on ne sait plus où est le haut du bas, et puis il faut bien viser ces petits cercles de merde sinon ce n’est pas comptabilisé et il faut faire demi-tour. Pas de carte, pas de HUD, que dalle, il faut ouvrir les yeux, et se balader. Chiant quoi…
The Last Scape est beau de loin mais loin d’être beau. Cela n’a jamais été aussi vrai que pour ce jeu. De haut dans le ciel le décor est photo-réaliste. Mais dès qu’on s’approche du ciel, c’est une bouillie de pixels qui fait mal aux yeux. La bande son fait office d’ascenseur. Et puis c’est tout… Le jeu est tout aussi creux que mon test.
The Last Scape est un titre « OVNI » qui a l’intérêt d’une boîte de conserves vides qui a une belle étiquette. Au final, à part pour deux ou trois personnes, ça finira dans le bac à recycler.