Timberman VS Qui a toujours rêvé d’être un bûcheron ?
Bah pas moi ! Mais je pense que Korganor a toujours eu ce petit trip en tête : couper du bois, se laisser pousser la barbe, prendre une bière et retourner fendre le bois. Mais bon, c’est moi qui me coltine Timberman VS et je pense que Korganor ne m’en voudra pas, car avec Timberman VS on est loin d’un Red Dead en mode bûcheron.
Vive les pixels, la vue en 2D, les graphismes tout moche, et le matraquage de boutons. C’est un track and field à la sauce « hache » où on doit appuyer sur les boutons comme un taré en évitant les branches sinon on se cogne et on perd du temps ou même pire, c’est game over. En solo, ce genre de jeu ne sert à rien à part devenir fou. Surtout que Timberman VS est exigeant comme pas possible. C’est frénétique, énervant, speed, énervant, bon bref, c’est énervant. En multi, c’est plus rigolo, car on peut se foutre de la gueule de l’adversaire du canapé qui est derrière nous car « son cerveau accepte moins bien que nous les G de la connerie du titre ».
D’un point de vue esthétique je l’ai déjà dit, ce n’est pas bandant. Un petit jeu NES en vue de côté sans trop d’animation, avec des musiques speedent et plus de game over qu’autre chose. La durée de vie est comprise entre 30 secondes et l’infini, cela dépendra de votre niveau de jeu et de votre état psychologique.
Timberman VS peut intéresser les tarés du bois et de la hache. Les gens qui aiment les jeux speedent où il faut matraquer un bouton se défouleront dessus. Mais pour le commun des mortels, on préférera se les geler au bord d’un lac au Québec à couper du bois.