Tokyo 42 est un titre qui va faire grimper les actions des opticiens. Oh que oui !
Je me souviens de l’époque des jeux en 3D isométrique. C’était pour les grands jeux. Fini la 2D toute plate, vive la 3D isométrique. Je me souviens du premier FIFA sur Mega Drive et Super Nintendo. C’était génial, on avançait en diagonale, on visait mal, c’était génial. Mais bon, de nos jours le pixel art a la cote, mais il faut se démarquer alors zou, vive la 3D isométrique.
Alors Tokyo 42 nous sort son style graphique mais avec un détail qui a son importance : putain mais c’est tout petit !!! Notre personnage est minuscule, les autres aussi, on voit rien à l’action, et je ne vous parle même pas des textes à lire. Il faut une putain de loupe. Une honte sérieusement. Franchement il faut avoir du courage pour lire tout ce que les gens veulent nous raconter dans Tokyo 42.
Sinon, de loin, on dirait un GTA like vu de haut en trois quart, avec un côté Hitman pour tuer des cibles discrètement. Le tout en coloré, moche mais mignon, mais moche, mais mignon, et qui nique les yeux. Le gameplay forcément avec sa 3D tordue est approximatif, et ce n’est pas la possibilité de tourner la caméra sur les 4 angles qui sauvent la mise.
Tokyo 42 est un titre qui est mal fini, ou mal commencé. Alors oui, l’ambiance Blade Runner plaira aux fans de SF, mais au prix de vos yeux. Bref, j’ai pas aimé !