Vera Blanc: Ghost In The Castle La détective télépathe est de retour et elle compte bien nous faire frissonner ? Mais est-ce que ce sera de plaisir ?
Vera Blanc est de retour. J'aimais bien l'idée mais les mini jeux étaient trop rudes pour moi (le jeu a eu 51). Vera revient et ce coup-ci, ce sera en Italie que l'on ira voyager pour une vague histoire de fantôme.
Les mini jeux ne sont pas obligatoires… La fois d'avant aussi et vu que tout est différent et pourtant pareil, je me suis tâté pour faire le test : full mini jeux ou bien j'en lance 2, je déprime et je tente sans eux ? Bon… J'avoue que j'ai tenté l'expérience mini jeux mais ce sera peut-être la dernière fois… Les mini jeux où ils faut deviner les phrases, cela passe encore, je trouve ça rigolo même si certaines phrases sont alambiquées pour nous tendre des pièges mais après tout… c'est le jeu (ma pauvre Lucette). Ce sont les autres mini jeux qui peuvent débarquer sans crier gare et où l'échec signifie GAME OVER, tout recommencer…
Par exemple, vous êtes tranquille en train de suivre la narration et d'un coup des chiffres apparaissent à l'écran pendant 2 secondes. Ensuite à vous de les retrouver dans l'ordre sinon… vous crevez d'une balle dans le buffet. Les chiffres ne sont même pas un mini jeu lié à un code de coffre ou autre. C'est juste… 3, 2, 1, PAF Pastèque !
C'est un peu dommage car pour le reste ce Vera Blanc est assez rigolo. Vera joue davantage la séduction tout en montrant bien qu'elle est le cerveau du groupe. L'histoire a un côté série avec ce mélange de légèreté, de mystère, de séduction et d'humour. Un petit peu Sidney Fox dans l'âme pour ceux qui apprécient les "grandes séries".
Visuellement, c'est toujours le côté BD et ça passe bien. Peut-être moins léché par endroit mais c'est compensé à d'autres moments donc dans l'ensemble, cela passe mieux. Ce qui fait que globalement, j'ai préféré cet épisode au précédent même s'il tombe dans les travers que j'ai pu expliqué. Mais si vous jouez sans les mini jeux, c'est comme regarder un épisode de la trilogie du samedi : un petit plaisir coupable.
