Clone Drone in the Danger Zone De l'humour, du sang, des épées ! La recette du bonheur ?
Cela fait longtemps que l'on a compris chez XboxOrNot' qu'il n'y a "no rest for the wicked" ! Fini le temps de l'innocence où l'on pensait avoir un mois tranquille où finir nos jeux préférés. Je dis ça car Clone Drone in the Danger Zone est arrivé avec un lot de X jeux que l'on a dû répartir dans la rédac'. Moi, qui était fier de retomber sous la barre des 10 jeux à faire. Après, je ne me plains pas, Riggs a eu la bonne idée de prendre des vacances et il a une vingtaine de jeux sur sa liste. Bref, rien de trop différent du héros de Clone Drone in the Danger Zone.
Bonne excuse pour cette superbe transition où notre héros est happé dans la matrice pour devenir robot gladiateur dans un jeu en voxel art ! En quoi ? Une bonne excuse pour parler de pixels... Car du pixel, on en a à foison. Ce n'est pas le plus beau, il est un peu grossier mais... Mine de rien, ça fait partie de l'identité de Clone Drone in the Danger Zone.
En effet, le jeu est sous forme de jeu TV de gladiateurs et les humains ont leur conscience dans des robots de combat. Les commentateurs ont toujours un petit mot, une petite blague pour se moquer de nous ou pour témoigner d'un étrange respect "wahou ! Qui aurait pensé qu'un humain pourrait être aussi tranchant" !
Côté gameplay, c'est du jeu en arène et la mort est définitive. Il faut donc investir dans des capacités et des corps de rechange entre chaque round pour espérer aller le plus loin possible. Le système est plutôt simple et chaque compétence a son intérêt. On en a relativement peu mais elle change votre vie assez vite. Par exemple, la capacité de renvoyer des projectiles avec mon épée m'a été bien utile.
Du coup, on affine ses réflexes, on progresse et même si le jeu n'a pas un gros intérêt à long terme, on rigole et on s'amuse. Clone Drone in the Danger Zone n'est pas inoubliable mais il sait comment nous faire sourire.
