Black Paradox – True Survivor !

La loi des hasards, vous connaissez ? Vous parlez d’un truc et comme par hasard, vous tombez dessus le jour suivant. Un pote que vous n’avez pas vu depuis dix ans, vous en parlez et paf ! Vous le croisez le lendemain. J’ai eu ça sur Black Paradox. Ce jeu des studios Digerati avec son ambiance 80’s a frappé à la bonne porte puisque ce week-end, je suis retombé sur le clip phare du film Kung Fury : True Survivor de David Hasselhoff ! Si vous avez des doutes sur ma santé mentale, allez voir le clip en question puis revenez lire ce test ensuite.

Digerati a frappé fort à la porte de mon cœur récemment avec Stories (ici) qui jouait dans la cour hack & slash. Black Paradox va venir jouer dans la cour shoot’em up. Ici, vous êtes un chasseur de prime de l’espace qui doit buter un max d’ennemis pour atteindre leur boss. Tout ça dans une ambiance 80’s. Cela commence avec votre Delorean de l’espace qui crashe des lasers sur fond de musique au synthé. Si vous voulez une ordre d’idée vidéoludique, le Far Cry Blood Dragon avait parfaitement profité de l’ambiance.

Cacahuète time !

Visuellement, c’est du pixel mais c’est du pixel cool, qui fait un taf qui ne demande pas d’investissement dans des gouttes pour les yeux. L’action part en cacahuètes souvent et c’est ce qu’il faut à ce shooter. Surtout qu’il est mâtiné d’un côté rogue. A chaque run, vous repartez du début du niveau mais vous pourrez garder les améliorations chèrement payé à la fin de chaque essai. Comme tout bon rogue, c’est dans la durée que Black Paradox se profite. On améliore son vaisseau mais également ses réflexes. Le jeu est dur, il ne plaisante pas trop mais le synthé fait un boulot de dingue pour garder l’adrénaline au top. A chaque essai en plus, les ennemis ont bougé, le décor aussi et la musique varie.

Pourquoi mon garagiste ne lui ressemble pas ?

Black Paradox est donc une bonne petite surprise. Pas forcément la perfection mais le fun et le plaisir de jouer. Avec cette recette, c’est ce que nous demandons à un jeu.