Blackberry Honey – Ma sorcière bien aimée ?

Un visual de chez Ratalaïka, c’est le genre de jeu qui tombe chez moi. Au programme, de la soubrette et de l’amour entre femmes ! 

« Lorina Waugh travaille quatorze heures par jour comme domestique chez la famille Lennard, où elle lutte contre le surmenage et les brimades de ses collègues plus âgés. L’une des seules domestiques qui parle gentiment à Lorina est la mystérieuse Taohua. Son attitude distante, presque féline, et son apparence singulière, alimentent toutes les rumeurs. Certains vont même jusqu’à la soupçonner d’être une sorcière. Lorina tente désespérément de garder ses distances avec Taohua… mais peut-être y a-t-il une part de vérité dans toutes ces rumeurs, car elle tombe bientôt sous le charme de cette femme ! »

Elle manie si bien l’archer !

Voilà le pitch et vous savez tout ou presque. D’ailleurs, le générique du jeu, fort sympathique au demeurant vous spoile les 3/4 de l’histoire. En même temps, on s’en fout un peu tant les dialogues sont en général plats et insipides. Ils sont donc à l’inverse de Lorina qui est tellement plantureuse qu’elle passe son temps à tenir sa poitrine. Je ne déconne pas, on sent le jeu pour mâle pervers en mal de nichons et de soubrettes qui se baladent sous la pluie ! Un peu comme si Becky de princesse Sarah avait la poitrine en 95 H. De plus, Lorina se fait tellement maltraitée qu’elle passe limite son temps entre l’abus moral, l’abus physique et le harcèlement sexuel.

Qu’est ce qui nous arrive ?

En prime, zéro choix à faire et même en version accélérée, le jeu semble insipide dans sa narration et on n’a rien à faire. La console a failli se foutre en veille plusieurs fois tant je n’avais rien à faire. Si vous voulez, foutez le jeu en mode « passez » pour zapper l’intrigue, obtenir les succès et débloquer les images « coquines » dans la galerie.

Mais en vrai, même si vous êtes en chien de succès, je ne peux pas vous conseiller ce jeu qui est racoleur à tous points de vue !

« Oh non, nous n’avons pas le droit ! «