Préparez-vous à une aventure explosive au cœur d’un monde post-apocalyptique dans Dead End City ! Vous incarnez un héros intrépide, déterminé à sauver ses proches des griffes du redoutable gang Scorpio. À bord de votre bolide, surnommé Chariot, vous traverserez des terres désolées, affrontant des hordes d’ennemis et des boss imposants. Dead End City vous replonge dans l’ambiance enfiévrée des bornes d’arcade des années 90, avec son lot d’explosions et d’action non-stop !
Dead End City, c’est un peu comme rouler sur l’autoroute de l’apocalypse : simple, mais diablement divertissant ! On prend le volant de notre engin armé jusqu’aux dents, on enfonce le bouton A, et c’est parti pour une virée où les balles volent et les explosions se succèdent. De temps en temps, on choppe une arme bonus avec le bouton B pour pimenter un peu la sauce. Rien de bien compliqué, mais ça fonctionne !
Le jeu nous propose cinq niveaux qui se suivent comme des péages sur la route de l’enfer, chacun avec deux sous-niveaux et un boss à la clé. Pas de surprise de ce côté-là, mais les affrontements contre les gros méchants envoient quand même du lourd ! Côté modes de jeu, on a le choix entre l’arcade pour les puristes, le score attack pour les compétiteurs, et le highway pour ceux qui aiment rouler sans but précis. Trois options qui varient le voyage, même si la destination reste la même : la victoire sur Scorpio !
En parlant de victoire, on récolte des sous en jouant, qu’on peut ensuite claquer au marché noir pour débloquer des persos et des niveaux. Mais soyons honnêtes, les prix sont tellement exorbitants qu’on préfère se la jouer à l’ancienne et tout gagner sur la route. Niveau ambiance, c’est un peu comme écouter une vieille cassette qui grésille dans le lecteur : les bruitages manquent de peps, et les graphismes en 2D manquent un peu de couleur. Mais bon, on n’est pas là pour faire de la figuration, non ?
Au final, Dead End City, c’est comme une chanson qu’on connaît par cœur : pas de surprises, mais ça se laisse écouter. Pas le jeu du siècle donc, mais une escapade pas désagréable pour les amateurs de shoot’em up rétro. Par contre, il est possible qu’on pique du nez par moment. Pas facile de tenir le rythme d’un road trip.