Vingt minutes dans l’espace, et tout part en cacahuète. Rapidement, on est immergé dans un monde géométrique rempli de formes et de couleurs hypnotiques qui semblent danser à l’écran. L’esthétique minimaliste mais accrocheuse attire instantanément l’attention, tandis que la musique électronique entraînante ajoute une dimension supplémentaire à l’expérience immersive.
Mais ce qui distingue vraiment Geometry Survivor, c’est son gameplay captivant. Le jeu offre une action rapide et effrénée, avec des contrôles fluides qui permettent de se déplacer avec précision à travers des environnements complexes remplis d’obstacles mortels.
Enfin, la rejouabilité de Geometry Survivor est pratiquement infinie. Si vous voulez survivre les fameuses 20 minutes, vous devrez avoir beaucoup de chance pour avoir de bons upgrades, ou alors simplement être très habile avec vos joysticks pour esquiver les très, très, très nombreux ennemis qui vous harcèleront sans relâche.
Graphiquement, le jeu est minimaliste mais pas simpliste. Le mélange de couleurs néon, le bloom modéré et les effets de particules sont agréables à l’œil. D’ailleurs, le framerate n’a jamais failli sur la Xbox Series X et le jeu tourne en 4K/60fps.
Si vous avez accroché à Vampire Survivors, il y a de grande chance que Geometry Survivor vous plaises. Néanmoins, il est pas du niveau de son ainé, et ça se ressent à plusieurs égard. J’ai d’ailleurs eu plus envie de replonger dans Vampire Survivor que de relancer une partie de Geometry Survivor…
En bonus, voici notre replay découverte du jeu :