Drova – Forsaken Kin est un jeu qui n’a pas spécialement inspiré Riggs. En effet, notre rédac’ chef a toujours un petit mot quand il nous confie un test. Là, rien de notable. Mais d’un autre côté, c’est parfait, je ne sais pas tellement à quoi m’attendre comme ça ! Et c’est d’ailleurs un peu ce qui arrive à notre héros !
Héros ou héroïne… Car au début du jeu, on définit son avatar et ensuite on découvre un monde très celtique/préhistorique où dans notre village, tout n’est pas jojo pour se nourrir et tout le toutim. Du coup, la découverte d’une pierre chelou, ça titille nos druides. Lorsqu’ils vont vérifier ce que ça peut faire, vous les suivez et vous tombez dans un passage dimensionnel qui doit vous emmener sur un monde mythique et idyllique ! Bingo sauf pour idyllique car en fait, c’est la folie des combats contre des monstres ! Ah mince et en plus, notre voyage ressemblant à un aller simple, il va falloir se sortir les doigts pour survivre ! Drova – Forsaken Kin pose un cadre et donne envie de le suivre. Nous savons toujours où nous rendre et c’est toujours le plaisir de la découverte dans ce jeu.
Nous sommes dans un hack & slash vu de haut et en pixel. La vue est parfait pour gérer les hordes ennemies et faire au mieux avec le décor. Le côté pixel est plutôt sympa dans l’ensemble. Pas le plus précis du monde, pas le plus bandant lors de l’exploration de certains passages comme les marécages où il est parfois difficile de bien comprendre les éléments de décor qui gênent. J’aimerais vous dire un truc sur les musiques mais elles étaient très classiques. Au moins, elles étaient là, elle n’était pas prise de tête mais rien de mémorable pour autant !
Pour la partie gameplay, Drova – Forsaken Kin est un hack & slash option Souls dans le sens où l’on gère une barre d’endurance et où il ne faudra pas faire le foufou. Rien de défoulant dans l’absolu mais Drova – Forsaken Kin préfère jouer plus tactique et positionnement selon que l’on préfère une grosse arme ou avoir une arme plus petite et un bouclier. Au début du jeu, les sorts sont hyper limités histoire de ne pas poutrer le jeu à distance mais votre personnage évoluera pour avoir plus d’options que ses petites armes. Un gameplay assez classique mais on prendra plaisir à préparer ses batailles et à s’organiser pour survivre aux 1001 rencontres qui nous attendront.
Mais en résumé, Drova – Forsaken Kin s’avère donc sympa et c’est tout. Au final, même si j’ai aimé me balader, même si la découverte des nouvelles zones ou d’une nouvelle arme me faisait plaisir, je n’étais pas forcément plus enthousiaste que ça. Toujours est-il que le jeu fait le travail sérieusement et prend le temps de poser son histoire pour nous embarquer dans son univers.