Test de Gori: Cuddly Carnage – Chat’R Nage !

Gori: Cuddly Carnage by Wired Productions Ltd, c’est le jeu où la pochette me vend du rêve avec un chat, un skate volant et une tête de licorne ! C’est un pitch de Riggs : « Un Devil May Cat !Et ça a l’air gore. Peut-être une bonne surprise » qui envoie des bouts de pâté pour chat dans tous les coins de la rédaction ! C’est Jingoro qui ronronne et Théo qui mange les grains de la litière !

Tu as un problème de peau non ?

Gori: Cuddly Carnage, c’est aussi l’histoire d’un monde futuriste où un jeune chat qui tient sur ses petites pattes et qui a une veste trop cool vole sur un Skate nommé Franck et dont la passion est de dire des grossièretés et d’avoir une lame parfaite pour découper les licornes zombies et autres trucs chelou qui veulent votre mort pour vous empêcher de retrouver votre maîtresse humaine et scientifique. Bref, c’est complètement barré avec votre vaisseau spatial qui sert de hub et qui semble sorti d’un jouet Fisher Price et dont la personnalité dépressive semble vouloir se noyer dans une piscine de médoc pour oublier la life ! Oui, j’ai l’air d’écrire nawak mais je ne déforme même pas le scénario du jeu !

Sponsorisé par Tomato Ketchup !

C’est du fufu la moquette comme on l’aime à la rédaction, du jeu qui a laissé la pédale sur le métal et qui joue ça à fond. Surtout qu’outre des musiques déjantées et des voix barrées, on a un jeu qui a une identité visuelle sympathique ! Certes, ça dégouline de bave, les textures sont parfois fini à la mayo mais ça le fait ! On se dit, c’est cool comme regarder Beavis et Butthead après un pack de 8-6 !

Côté gameplay, on est dans une sorte de beat’em up où l’on contrôle le chat qui skate en tranchant les ennemis avec la lame laser que l’on déploie ! On va donc être dans une sorte de drift constant, de slide, de saut de matraquage en règle des boutons car c’est un gros bordel de skater en hoverboard tout en tapant partout ! Mais une fois de plus, on voit que c’est le bordel mais on kiffe ! Gori: Cuddly Carnage défoule à mort et on se demande toujours quel est le prochain ennemi complètement pété qui va surgir ! (Spoiler : la moitié sont des variantes de licornes possédées) !

La drogue, c’est mal, voyez !

Gori: Cuddly Carnage est donc un gros défouloir complètement barré. Le jeu se finit rapido car en 5h, on aura fait le tour sauf si vous voulez toutes les tenues ou autres options de personnalisation. Mais on ne peut pas cacher le plaisir que l’on aura eu sur ce jeu qui n’est pas toujours nickel techniquement, qui est bordélique à souhait mais qui le fait avec l’audace et l’insolence d’un chat qui aurait renversé votre objet préféré !

Petit wallride à la Tony !