Dans Nico Saves The State, le héros légendaire est parti siroter des cocktails sur une plage pendant que le monde s’effondre. Voilà donc Nico, assistant de labo timide, propulsé au rang de sauveur de Ririland, armé non pas d’une épée flamboyante ou d’un mécha géant, mais… d’un smartphone expérimental.
Imaginez un beat’em up où l’on incarne un malheureux clone de Terminator, parachuté dans une prison intergalactique pour un crime qu’il n’a pas commis, le tout dans un show télévisé digne d’un Fort Boyard version Mad Max.
Après un Journey to the Savage Planet surprenant, mais surtout très fun et rigolo à faire en solo ou en coopération, je ne m'attendais pourtant pas à voir un nouvel épisode. Et pourtant, voici que débarque Revenge of the Savage Planet.
Spirit of the North 2 est une suite visuellement envoûtante mais trop timide, qui peine à se renouveler et reste enfermée dans la rigidité et la simplicité de son prédécesseur.
Dans Post Trauma, on incarne Roman, un conducteur de train qui se réveille non pas à la SNCF mais dans un cauchemar tout droit sorti d’un croisement entre Silent Hill et le rayon « mauvaises nuits » d’un Ikea maudit.
Prenez une grille hexagonale, des pièces à la Tetris, ajoutez un soupçon de logique, mélangez avec des couleurs pastel et saupoudrez le tout d’un fond sonore aussi discret qu’un chat en chaussettes : vous obtenez Hegzis.