Test de ArcRunner – Un roguelite cyberpunk

ArcRunner nous plonge directement dans un univers cyberpunk palpitant, mêlant habilement des éléments de jeu de tir à la troisième personne et de roguelite. Cependant, ne vous attendez pas à une qualité digne de Returnal. Dans ce jeu, on se retrouvent à affronter une intelligence artificielle déchaînée, dans des environnements urbains aux allures de labyrinthes futuristes.

Objectif : abattre l’ennemi

Le gameplay se révèle solide, avec des mécaniques de tir satisfaisantes et des mouvements fluides, bien que parfois un peu lents. Les armes et les outils à disposition offrent une variété appréciable, permettant de s’adapter face aux différents ennemis. L’aspect roguelite du jeu se manifeste à travers des niveaux générés aléatoirement et une permadeath qui pèse sur les épaules des joueurs. Chaque tentative offre l’opportunité de débloquer de nouvelles améliorations et compétences, ce qui encourage à persévérer malgré les nombreux échecs.

L’IA c’est le mal.

Cependant, j’ai trouvé que les combats étaient trop répétitifs. Malgré quelques variations dans les objectifs et les environnements, le jeu peine à maintenir un haut niveau d’excitation sur la durée. Visuellement, ArcRunner propose un univers esthétiquement réussi, avec des modèles 3D bien réalisés et des effets de lumière impressionnants. La bande-son cyberpunk accompagne efficacement l’action, bien que sans réellement se démarquer.

Du RayTracing ?

En résumé, ArcRunner offre une expérience de jeu solide pour les amateurs de jeux de tir cyberpunk, mais sa formule manque d’originalité et peut souffrir de répétitivité à long terme. Malgré tout, il reste un choix intéressant pour ceux en quête d’action et de défi dans un univers futuriste.