Test de Deep Under – Un jeu profond !

Deep Under est un jeu que l’on peut classer comme un visual novel qui va venir agrandir la bibiothèque de Ratalaika ! Alors vais-je vraiment faire des choix ou vais-je juste subir une succession d’écran à lire ? Car c’est parfois tout ou rien les visual novels. Alors tachons de voir si Deep Under a fait le bon choix !

Je voudrais un McMorning !

Côté pitch, c’est du film d’horreur classique : un groupe d’amis décide d’aller prendre du bon temps dans une forêt, découvre un caverne et les ennuis débarquent ! Ici, ce seront des chiens mutants, des hommes taupes, des temples mystiques chelous et des maladies/mutations étranges ! Bref, si vous pensiez emballer entre deux chamallow ou après avoir jouer de la guitare, c’est manquer ! Par contre, avec ses rebondissements et ses multiples fins, on a de quoi faire si l’on veut explorer Deep Under.

Prêt pour découper le saucisson !

C’est vrai que l’intro est un peu longue avant que l’on fasse de vrais choix (lait ou lait d’amande n’était pas un choix structurant) ! Mais une fois dans les souterrains, on est pris au jeu ! Les visuels sont d’ailleurs sympa dans un style comics sympathiques. Par contre, les bruitages sont horribles, ils sont trois à se battre en duel et ils sont aussi agréable que des ongles sur un tableau noir ! J’ai fini par couper le son préventivement !

Promenons nous dans les bois…

Côté gameplay, les choix sont sympa, nombreux et le seul bémol sera la navigation dans les menus qui n’est pas toujours fluide et lisible. Pour la durée de vie, c’est le jeu d’une soirée comme on se regarderait un petit film avant de dormir. Les plus curieux pousseront peut-être sur deux ou trois soirs mais une seule fin m’a suffit pour me dire que j’avais passé une soirée sympa et dodo ! Deep Under est donc un petit jeu narratif qui nous fera frissonner avec plaisir le temps d’une soirée devant sa télé !

Bonjour, je viens livrer les pizzas !