Test de Honeyland – Winnie l’Ourson est un glouton

Vous y guidez un ours à travers 30 niveaux pour atteindre son miel en utilisant des cartes de mouvement. Le jeu se distingue par sa simplicité et son accessibilité, ce qui en fait un titre parfait pour de courtes sessions de jeu.

A votre avis, comment on atteint le miel ?

Le gameplay est basique : chaque niveau a une solution unique, et bien que des cartes supplémentaires et des mécaniques apparaissent à mesure que vous progressez, elles n’ajoutent pas vraiment de complexité. Cette simplicité est à double tranchant. D’une part, elle rend le jeu facile à prendre en main, mais d’autre part, elle limite la rejouabilité une fois que vous avez résolu tous les puzzles.

Pour atterrir jusqu’au miel, il suffit de faire gauche droite, droite, droite, gauche…

Visuellement, HoneyLand reste simple, avec une esthétique en blocs qui rend les mouvements faciles à anticiper. Cependant, l’absence de fonctionnalités comme une caméra rotative se fait sentir, surtout pour un jeu de puzzle où l’angle de vue peut être crucial. Les changements environnementaux, comme la progression vers un volcan, ajoutent un peu de variété, mais n’influencent pas vraiment le gameplay. Cependant, tous ces visuels, je les trouve fade et sans âme.

Toujours tout droit.

En fin de compte, HoneyLand est un jeu pouvant être agréable mais n’est pas très beau et plutôt simple. Néanmoins, il est parfait pour une courte distraction. Il ne réinvente pas le genre et manque de profondeur, mais pour son prix modique, il offre une expérience satisfaisante pour les amateurs de puzzles simples et rapides.