Test de Into the Restless Ruins – N’oubliez pas la carte !

Avec Into the Restless Ruin de Wales Interactive, nous avons, comme dirait Riggs : « un petit deck builder / roguelike, ca va te causer » ! Le genre de jeu qui va jouer cartes sur table comme j’aime à le dire mais ici, pas besoin (normalement) de carte des lieux car l’architecte, c’est vous !

Et oui, des monstres et divinités contre lesquels lutter mais pour les atteindre, il faudra se faire un chemin vers eux. Pour cela, il faut atteindre certains points pour débloquer la zone du boss. Pour tout ça, nous posons des cartes représentant des salles puis quand nous avons utilisé les ressources pour poser les cartes, nous passons à la phase « survivor » où notre personnage tire tout seul et où l’on tâche d’aller trouver des ressources, de prendre des niveaux avant de faire face au boss ou de regagner la sortie avant que notre torche d’exploration soit consumée et d’aller poser d’autres salles… Bref, un principe sympa et prenant où nous tâchons d’allons toujours plus loin et où les mécaniques « roguelite » sont bien huilées. L’ambiance gaëlique pose bien le cadre et on est vite pris dans le jeu.

Il fallait prendre à gauche ?

Difficile de lâcher Into the Restless Ruins tant le côté « carte »/ constitution du donjon est amusant. Une salle pour gagner du temps d’exploration, une salle pour gagner davantage de dégâts… On réfléchit pour optimiser son donjon, ses déplacements pour pouvoir être au taquet pour le tour suivant ou pour le boss. Alors, c’est vrai que Into the Restless Ruins fait dans le pixel minimaliste et que cela ne brillera pas par un design de furieux. Idem pour le bestiaire et notre héros qui ressemble à un pauvre hère.

On est où là ?

Côté exploration, le fait que notre perso tire tout seul est cool et rappelle les « survivors » mais il est dommage qu’il soit limité dans ses armes et évolutions d’arme. De même, une fois terminer les différents boss, l’envie d’explorer davantage ne s’est pas fait sentir pour moi.

T'as les clés du bureau ?

On passera donc un bon moment sur Into the Restless Ruins car ses principes de jeu sont bien fichu mais il faudra reconnaître les limites du jeu qui feront qu’après avoir vu le générique de fin ou explorer suffisamment, nous passerons à autre chose.

La flamme !