No Umbrellas Allowed Un jeu approuvé par Rihanna ?
Digerati est derrière No Umbrellas Allowed et si le titre ne m'inspire pas grand chose de prime abord mis à part me mettre du Rihanna dans la tête, je repense au pitch de Riggs : "Tu te croiras dans Pawn Stars ! Mais attention aux parapluies, il parait que c'est dangereux dans ce jeu !". Je ne sais pas si je suis vraiment aidé...
Et c'est un peu comme ça que le jeu commence car une fois passé le choix de la langue qui est anglais ou coréen, vous voilà dans la peau d'un gars retrouvé sur la plage, blessé et amnésique. Vous semblez échappé d'une usine qui a explosé et sans trop que l'on sache pourquoi au départ, un vieil homme vous récupère et soigne. Et il vous fait passer pour "Bob" son fils disparu ! Du coup, vous voilà à jouer les prêteurs sur gage pour aider votre secouriste en herbe ! L'intrigue se déroule dans un monde très Orwellien donc on sent la pression, la menace mais... On doit en même temps acheter et vendre des babioles pour payer nos dettes et peut-être s'échapper. Bref, on joue sur les deux tableaux et si la partie commerce est amusante, j'ai trouvé l'intrigue déjà vu, lente et assez chiante finalement.
Dommage car le côté pixel du jeu était cool mais les déplacements dans la ville sont pénibles et redondants pour pas grand chose, on a peu de choix de langage et même le gameplay s'en mêle en étant un peu confus dans les menus et leur choix. Ainsi, j'ai perdu des ventes ou fait des achats en bois à cause du gameplay qui m'a fait valider des trucs que je ne voulais pas...
Si on additionne un peu les positifs et les négatifs, on voit que les comptes ne sont pas bons Kévin et qu'il va falloir repenser à l'achat du jeu. En jeu de commerce un peu Pawn Stars, j'ai préféré Barn Finders qui était fufu la moquette à souhait et qui savait se vendre !
