Test de Sokomonster – Le Sokoban avec Godzilla !

Sokomonster sur Xbox revisite le concept classique du jeu de puzzle avec une esthétique adorable et des mécaniques simples à prendre en main. Dans ce titre, l’objectif est clair : déplacer des blocs dans un environnement coloré pour les positionner correctement, le tout avec une dose d’ingéniosité requise pour surmonter des niveaux de plus en plus complexes.

Si vous bougez une voiture, son prochain arrêt sera le mur d’en face

Le charme du jeu réside dans son univers simple et dans son style visuel minimaliste mais efficace. Chaque tableau est conçu avec soin, offrant des défis qui équilibrent réflexion et plaisir. Les commandes sont précises, et l’optimisation Xbox garantit une fluidité exemplaire, même dans les niveaux les plus chargés. Ainsi, vous incarnez un dinosaure qui souhaite détruire des immeubles en envoyant des voitures dessus.

Ce niveau m’a bien fait rager !

Cependant, la répétitivité des mécaniques peut se faire sentir après quelques heures, car l’absence d’une véritable progression narrative ou de variations significatives dans les puzzles limite l’immersion. Le jeu s’adresse avant tout à ceux qui apprécient des expériences cérébrales simples, idéales pour de courtes sessions.

La difficulté est plutôt inégale

Sokomonster parvient tout de même à se démarquer par son accessibilité et son esthétique charmante, proposant une pause agréable dans un univers où réflexion et détente se rencontrent. Au final, on est face à un Sokoban pas révolutionnaire mais suffisant pour triturer vos méninges.