Lillymo Games a su inspirer Riggs quand il est venu me proposer le test : « un melting pot de vieilleries, le maxi best of de la période Atari ». Mine de rien, c’est parfois dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures. D’autres fois, c’est la diarrhée. Où se situe t-on ?
Alors, j’ai un pitch ! Dans le futur, la paix galactique et l’espace temps sont menacés. La NASA embauche donc les deux meilleurs pilotes pour sauver tout ce qu’il y a à sauver. Alors Tri Breaker: A Sacred Symbols Odyssey, c’est un casse-brique mais entre les niveaux, on me donne de l’histoire sous forme de petites scènes/bande dessinées. Le jeu y justifie même son gameplay. Original d’un côté même si on voit que les gars ont pris de la bonne. Les curieux seront donc amusés.
Les autres vont zapper ça et jouer à un casse-brique où l’on contrôle 2 barres (les vaisseaux) et où l’on a même un contrôle sur la boule. Intéressant et surprenant, on aura donc une mécanique de synchronisation et de visualisation dans l’espace qui sera pas évidente. Mais cela rend ce simple casse-brique original et donne envie d’y jouer.
Pourtant c’est très banal dans le genre pixel baveux mais ce gameplay suscitera l’attrait voir le défi pour faire la quarantaine de niveaux. En une soirée, on peut plier le jeu de base, soit 3 heures pour les sprinters. Le double si l’on veut tout faire en étant rapide. Pour les amateurs lambda qui iront au bout on visera du 5h tranquillement sans chercher certains défis vraiment rudes et pour profiter de l’histoire.
En résumé, je ne m’attendais pas à être surpris par un casse-brique en 2024. Tri Breaker: A Sacred Symbols Odyssey l’a fait !
