Test de Zero the Kamikaze Squirrel – Une expérience surprenante, mais pas révolutionnaire

Zero the Kamikaze Squirrel est un titre rétro qui sait garder l’essence même de la nostalgie qui sent bon la salle d’arcade. Dès les premières étapes, vous serez confronté à des niveaux tels que des plages où vous pourrez sauter de nuages en nuages pour récolter des objets cachés. Plus tard, on se retrouvera dans des mines et des milieux industrialisés.

Graphiquement, on sent que c’est d’époque

En termes de gameplay, Zero the Kamikaze Squirrel est plus complexe que nécessaire, avec des coups de pied, des lancers de shurikens et une combinaison de double saut et de vrille aérienne. Cela fait un ensemble de coup minimisé et surtout difficile à maîtriser. Heureusement, cette version propose un Rewind pour éviter de perdre vos vies bêtement.

De nombreux ennemis à éliminer

Visuellement, cet opus est quelconque, même si certaines séquences, comme le niveau en jet ski, apportent une certaine fraîcheur. Toutefois, c’est du côté de la bande-son que le jeu déçoit le plus. Déjà, la version Mega Drive n’est pas incluse dans cette réédition, ce qui est regrettable. Enfin, à titre personnel je n’ai pas trouvé la musique entraînante et un poil répétitif.

Petite séance de Jet Ski

Pour le reste, la réédition suit le modèle des autres titres de la série Aero, avec des sauvegardes automatiques, des succès à débloquer et des cheat codes pour faciliter la progression. Cependant, l’art et le contenu supplémentaires sont plus limités par rapport aux précédentes versions de Aero.

Il y a de nombreux boss, le plus difficile étant le dernier.

Zero the Kamikaze Squirrel est un jeu qui vous surprendra par son niveau de défi même si ses défauts comme une bande-son oubliable, des environnements répétitifs et des contrôles parfois trop complexes, l’empêchent d’atteindre des sommets. Il s’agit d’un bon petit jeu d’action/plateformes, mais pas suffisamment marquant pour être un incontournable, surtout avec des titres plus ambitieux.