Et paf le chien ! Oui, ce titre m’a tellement inspiré que je vais faire tous les jeux de mots à la con possible pour égayer mon test. Une vraie vie de chien d’être rédacteur parfois. Cela me donnerait presque envie de me lécher les couilles sur le canapé.
Bref, je vais vous parler de Thunder Paw, un titre où l’on contrôle un chien qui marche sur deux pattes arrières car il emmerde la logique, et qui doit sauver ses parents qui ont été enlevés. Un scénario bateau pour nous servir un jeu où notre avatar ressemble plus à un humain à tête de chien qu’à autre chose et qui dégomme les ennemis avec sa pétoire.
Graphiquement, vous en vous doutez… Allez dites le… Alors ??? Et oui, c’est du pixel, à la sauce 16 bits, donc cela sauve les meubles, au moins les décors de fonds sont sympas. Les animations sont simplistes mais pas honteuses. Non, le gros problème de Thunder Paw, c’est son putain de gameplay.
Je ne sais pas si c’est lié au fait que c’est un putain de chien qui se tient sur ses pattes arrières, mais il se contrôle comme un débile, avec de l’inertie et en plus, ils nous ont rajouté un semblant de recul à chaque tir du coup, c’est limite injouable. Je suis capable de rester scotché à ce genre de titres, ca me détend et me fait gagner des succès, mais là, quand la jouabilité est pourrie, je crie au scandale. Un jeu de plate-forme en 2D avec un gameplay en mousse, ce n’est juste pas possible.
Thunder Paw aurait pu être sympa, mais il s’est foutu une balle dans la papatte avec son gameplay rate. C’est con, du coup, ca plombe tout. Allez hop, à la niche !