UFC 5 – Les rois de l’arène !

UFC est de retour et je ne boude pas mon plaisir. La franchise d’EA Sports ne la joue pas jeu annuel comme les jeux de foot, de foot US ou de Hockey. Ici, on bichonne, on va à la salle, on prend le temps. Il faut dire que le dernier épisode date de 2020 et j’avais aimé ce parti pris de moins fufu la moquette mais 100% plaisir. Un jeu qui avait dépassé les 80 et que j’ai aimé comme vous pouvez le lire ici. Qu’avons nous de beau et de mieux dans UFC 5  ? 

Viens petit, on a une bonne mutuelle ! 

 

Car comment faire mieux que l’épisode précédent ? Déjà on garde la base du précédent opus. Mais alors vraiment. Mode combat libre, mode event et mode carrière en solo ou en ligne pour notre plus grand plaisir. Pour le coup, même le mode carrière est peu ou proue identique mais après 3 ans, ce n’est pas le soucis vu que notre avatar traversera le jeu avec les améliorations de cet épisode. UFC 5 continue donc la lignée de jouer pour faire simple et efficace, un peu comme dans l’octogone. On retrouve d’ailleurs un gros casting avec des guests même si certains, et j’y reviendrai, sont à acheter. Cependant, on a déjà de quoi faire et on a des grands noms d’hier pour faire face à ceux d’aujourd’hui. Je suis donc ravi de retrouver GSP pour aller toiser les petits jeunes. Pas de mode Ultimate ou je ne sais quoi pour manager ceci ou cela, on est là pour la baston avec le casting ou notre avatar. 

Mon avatar en mode BBQ baston ! 

 

Et justement, la baston capitalise sur les qualités d’avant mais ajoute encore plus de plaisir pour le jeu au sol ou le jeu debout. D’ailleurs, c’est marrant de voir que c’est si réaliste que les low kicks sont souvent donnés comme des ânes par les combattants. Ils ne viendront pas se plaindre s’ils se pètent le tibia ! D’ailleurs, en parlant de blessure, les coupures sont mises à l’honneur dans UFC 5 . Ici, trop de sang peut signifier la fin du combat par arrêt du docteur. On entre dans une dimension bien connue des sports de combats avec la gestion des coupures, protéger le côté blessé et autres trucs sympas. Pour le reste, on voit des micro changements comme les soumissions et prises moins tape bouton et qui nous prennent davantage aux tripes. Idem pour les frappes, le sens du timing et de la distance font rage même si niveau combinaison, on sent que les types maîtrise le poing pied mais reste pataud si on tente du pied poing. Idem, le système de coup retourné n’est pas mon préféré mais comme ce n’est pas le genre de coup à tenter de trop car ce n’est pas méga rentable par rapport aux coups de base, je peux pardonner aisément. Et oui, je chipote comme lorsque je vois certains replay où je me dis que je vais y laisser un orteil ou que mon adversaire est tombé bizarrement. 

Je mets les pieds où je veux ! Et c’est souvent dans la gueule ! 

 

Je chipote car UFC 5 fait tellement les choses biens que je me mets à chercher la petite bête avant de réaliser que « bordel, ça fait déjà plusieurs heures que je joue en me disant un dernier combat, un dernier enchaînement ». Surtout que si vous avez la version Deluxe potatoes, vous aurez du boost d’XP pour plonger plus vite dans le coeur de votre carrière mais également quelques combattants en plus comme Ali, Tyson, Lee ou autres gars en mode vintage comme Adesanya.

Un image vaut plus que 1000 mots ! 

UFC 5 frappe donc fort et continue sur la lancée du précédent jeu, c’est à dire un titre incontournable pour les amateurs de simulation de jeu d’arts martiaux mixtes.