Crime Opera: The Butterfly Effect La mafia, des enfants, des flingues... Tout va bien se passer non ?
Crime Opera: The Butterfly Effect est un visual novel qui promet du G mais aussi du sang et des enfants... Alors, dit comme ça, c'est bizarre alors je vais développer un peu.
On retrouve 6 gosses nés dans la mafia et on peut dire que la famille, c'est important dans ce genre de milieu. Certains sont enfants de porte flingues, d'autres de boss, bref, tout le monde grandi ensemble mais pas facile de grandir dans un milieu "traditionnaliste" où un flingue se sort aussi facilement qu'une machine à raclette (j'aime le fromage).
L'histoire est sympa et on a notre lot d'enfant pour avoir notre chouchou : du gamin dark, au macho geek en passant par l'innocente colombe ou la gamine un brin flippante ou encore la pourrie gâtée, ils sont tous là ou presque. Sur l'histoire, c'est plutôt intense et on sent la pression sur les gamins.
Mais on la sent seulement car au terme des 24 chapitres, pas des masses de choix. On a en fait deux modes de jeu : lecture pure ou avec des choix. Et pendant plusieurs chapitres, j'ai cru m'être trompé de mode car des choix, on en a genre 5 dans le jeu ! J'exagère à peine et en fait, le jeu fait un peu sa vie sans nous.
Heureusement, que l'histoire est sympa et que visuellement, ce ne soit pas vilain. Alors, c'est un visual novel classique donc les environnements sont exploitées jusqu'à la moelle mais on ne saigne pas des yeux. Par contre, dire que le jeu est optimisé Series XIS, c'est un peu pompeux.
Crime Opera: The Butterfly Effect est la première partie d'une histoire plus longue, plus grande qui amènera les enfants à grandir dans tout ça. On comprend alors la densité du titre et pourquoi on veut bien nous exposer chaque aspect. Un visual novel sympa dans l'absolu pour son histoire mais qui se fiche un peu de nous quant à la possibilité d'avoir des choix à faire. Au moins, j'ai eu mes 1000G, mon chef sera content !
