Dark Arcana : The Carnival Ho un petit Artifex Mundi ! Mon petit caprice à moi entre deux gros jeux. Voyons voir ce que vaut ce petit Dark Arcana : The Carnival.
Vous devez le savoir à force, mais j’ai un petit faible pour les Artifex Mundi. Ce ne sont jamais des grands jeux, mais c’est toujours un bon petit moment de passé à résoudre des énigmes simples et découvrir un récit passionnant. Je commence à maitriser les titres estampillés Artifex Mundi, avec quelques tests dans ma besace. D’ailleurs, à peine j’avais terminé Dark Arcana : The Carnival, que j’avais déjà récupéré un petit nouveau qui sort prochainement. Bref, entre deux jeux bourrins ou funs, je répare mon cerveau avec un petit jeu d’aventure comme Artifex le fait si bien.
Dark Arcana : The Carnival nous raconte l’histoire d’une maman qui disparait dans une fête foraine. L’histoire sera comme toujours dans les productions Artifex Mundi, teintée de fantastique avec une grosse dose de machiavélisme. Une sorte de monde parallèle dans un miroir magique, d’où un démon essaye de s’échapper en utilisant un lanceur de couteau qui a tué sa femme lors d’une représentation et qui veut la faire revenir à la vie via un sacrifice. L’histoire est sympa à suivre, les mécanismes de gameplay sont toujours les mêmes, avec cette fois un petit singe pour nous aider à attraper des objets lointains.
Techniquement, j’ai trouvé The Carnival un peu moins bien réussi que les précédentes réalisations. Un peu plus de flou, de pixel, ou de textures qui tachent. Rien d’alarmant, on sait d’avance avec les productions du genre qu’on ne va pas avoir la rétine qui scintille. Mais cela reste agréable à regarder, sauf comme toujours lorsque des personnages sont animés.
Les énigmes sont toujours du même acabit, on retrouve les mêmes mécanismes, c’est toujours le même concept avec juste une nouvelle histoire. On consomme les Artifex Mundi comme des petits livres de chevet. Rien ne va nous retourner ou bouleverser, mais on passera un bon moment. Et comme d’habitude, en finissant le jeu, on a un petit chapitre bonus qui se débloque. Toujours aussi sympa. Dark Arcana : The Carnival n’est pas le meilleur cru dans son genre, mais il trouvera forcément son public de fans. Un épisode moins réussi donc, et moins marquant, d’où une note inférieure que ses grands frères, mais j’ai quand même fini le titre sans rechigner, et c’est déjà très bien.