Diablo 3 : Ultimate Evil Edition Vous avez une Xbox One ? Vous voulez jouer au top du top dans le genre du hack and slash ? Ne cherchez pas plus loin, vous l’avez devant vous : Diablo 3 Reaper of Souls.
Et oui Diablo 3 débarque sur nos consoles de nouvelle génération avec en plus des bonus agréables comme l’extension Reaper of Souls sortie sur PC il y a quelques mois. Blizzard profite de l’occasion pour nous offrir la possibilité de récupérer son perso depuis une version antérieure de Diablo 3. Chic je ne vais pas perdre mon Barbare de niveau 60 !!! Yeah !!! Du coup, on ne sera pas dépaysé en jouant à cette Ultimate Evil Edition : oui le sous titre déchire un max. Le gameplay est identique à la version Xbox 360 de Diablo 3 avec la fameuse roulade du stick droit (c’est top). Un gameplay aux petits oignons, du coop en local ou en ligne qui déboite, bref, un jeu qui va vous faire oublier la tristesse de la rentrée. Techniquement parlant, cette version Xbox One est plus soignée que celle de sa grande sœur. Une résolution en 1080p, une animation presque sans faille (je dis presque car j’ai cru voir de légères baisses de framerate en coop local avec une palanquée d’ennemis à l’écran et des coups spéciaux à foison, mais rien de bien choquant) et du plaisir de jeu tout simplement.
Le massacre ça a du bonOn débute le titre par la base de Diablo 3, avec ces 4 actes principaux et son histoire aux moults rebondissements (ou pas selon le fanboy-isme du joueur). A la fin de l’acte IV, on déboitera Diablo, normal, mais avec cette Ultimate Evil Edition, à nous la joie d’enchainer avec un Acte V qui va envoyer du pâté. Merci à l’extension Reaper of Souls et à son grand méchant Malthaël alias l’Ange de la Mort. Nous pourrons profiter de niveaux à l’ambiance bien sombre qui sont très sympas à découvrir. Sur la fin, j’ai trouvé que l’esthétique du jeu était moins bonne la faute à des décors trop froid avec du bleu à outrance mais ce n’est que mon avis. Enfin bref, une fois cet acte terminé, on aura l’impression du travail bien fait : avoir un perso au level 70 avec des niveaux de Parangon en rab, recruter une Mystique qu’on aura levellé au max afin d’enchanter son équipement préféré histoire d’avoir le sentiment de pouvoir customiser avec un grand C son personnage, et enfin on aura débloqué le mode Aventure, autrement appelé dans la rédaction par Korganor : le mode GLANDE.
Détruire des objets ça peut filer des bonusLe mode Aventure permet au joueur de se relancer dans le jeu sans se taper le côté linéaire de l’histoire. Ici, on peut se balader d’acte en acte, faire des petites missions, pour ouvrir des failles, histoire de défourailler du monstre et tuer un boss bien retord. Du fun à l’état pur pour booster ses persos et trouver des armes légen…wait for it…daires. Ce sera bien utile d’ailleurs si on veut tester le Croisé, une nouvelle classe bien fun, qui offre un mix de gameplay entre la brute et le planqué. Original, même si je préfère la méthode sauvage du Barbare. Oui, un Riggs, ça ne se refait pas.
"C'est juste une boite"Diablo Ultimate Evil Edition est un jeu à posséder sur sa Xbox One. De toute manière, il n’y a pas souvent de très bon hack and slash sur console, et Blizzard n’est pas réputé pour faire des sorties annuelles de ses jeux. Alors, en attendant d’avoir un hypothétique Diablo 4 ou un autre jeu du genre qui déboite, on aura le temps de jouer à FIFA 18. Le seul petit point négatif que je soulèverai est le prix du jeu si on a déjà raqué pour la version précédente sur console. A 70 euros chez Escromania (une cinquante d’euros plutôt si on fouille sur le net) ça reste cher l’extension. Mais si on découvre Diablo 3 avec la Xbox One, alors on peut vraiment parler de référence. Et sur XboxOrNot’, c’est rare qu’on donne ce rang. Bravo Blizzard !!