Qui a du Ca Ca Cactus, collé au cul cul ?
Vous me connaissez, ce n'est pas avec moi que vous aurez du jeu de mots du type "Flippin Kaktus : un jeu qui ne manque pas de piquants !" S'il y a bien un truc dont je ne suis pas client c'est le calembour et la gaudriole. Le Mexique est très à l'honneur ces derniers temps entre Forza Horizon 5, Guacamelee... et maintenant Flippin Kaktus.
Mais t'es qui là ? Ce qu'il y a de bien avec le jeu vidéo, c'est qu'il nous permet d'incarner tout type de héros : du plombier moustachu ayant sa carte VIP du Blue Oyster, au bout de viande, en passant par une oie ou un moustique. Dans ce jeu qui prends la forme d'un die and retry à la sauce plateformes, vous allez mener à bien la quête d'un arbrisseau SM et de ses ancêtres, à la recherche d’animaux perdus, en affrontant des Muchachos armés comme il se doit jusqu'aux dents afin de venger votre famille. Il va falloir sauter, dasher, manger des piments ou boire des boissons mexicaines (attention à consommer avec modération, Papa Jingoro est un cascadeur) pour que ces mets vous rendent plus fort et vous permettent d'atteindre la fin du niveau.
A la fin du dit niveau, vous aurez votre nombre de morts et vous allez en avoir beaucoup. Le jeu est emballé tel un wrap dans un pixel art, lui aussi dans l’air du temps de la scène indé et la musique ne sent pas les valses autrichiennes d'André Rieu mais offre une ambiance Old El Paso discrète et moins inspirée que celle de Guacamelee. A noter que j'ai eu quelques bugs lors du lancement du jeu et qu'il ne m'a pas été possible de réaliser moi-même mes captures (le jeu ne me l'autorisant pas).