Hayfever Je vais vous parler d’un énième jeu de plate-forme 2D.
Et je vais avoir du mal à être original dans mon article pour être honnête. De la plate-forme, de la 2D, un personnage mignon, des ennemis, des passages tendus, etc. Dans Hayfever, on incarne Thomas, un facteur qui a le boulot dans la peau. Mais son soucis, ce sont les allergies. Et quand il éternue, toutes les lettres de sa tournée sont éparpillées dans le monde. Thomas ne pouvant laisser cela comme ça, décide de partir à la recherche de ces courriers perdus. Un scénario digne… D’un jeu de plate-forme.
Les allergies de Thomas vont lui apporter de sacrés avantages. Le pollen par exemple, va provoquer de gros éternuements qui vont le faire sauter très haut. La pollution transformera Thomas en Kirby tout gonflé par exemple. Il y a près de 140 niveaux pour 240 enveloppes à récupérer. Le reste du jeu est très classique, comme je l’ai déjà dit, le concept des allergies est un prétexte pour les « pouvoirs ».
Graphiquement, on est dans un jeu à la sauce 8/16bits avec de la 2D classique, pas désagréable à regarder mais qui ne propose rien de transcendant. Le gameplay tient la route, même si plusieurs passages sont sacrément énervants. La musique est passable, elle fait le boulot sans rester dans la tête pour autant. La durée de vie est plutôt correcte, il y a de quoi faire pour faire un 100%.
Cela dit malgré ses bonnes intentions, il n’y a pas d’effet « waouh » avec Hayfever. Un titre loin d’être mauvais mais loin d’être bon. Un petit jeu sans prétention qui peut vous occuper en cette période de confinement.